Mobile marketing glossary | AppsFlyer https://www.appsflyer.com/fr/glossary/ Attribution Data You Can Trust Sun, 17 Mar 2024 20:01:12 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.3 https://www.appsflyer.com/wp-content/uploads/2020/07/favicon.svg Mobile marketing glossary | AppsFlyer https://www.appsflyer.com/fr/glossary/ 32 32 Taux de rétention (retention Rate) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/retention-rate/ Sun, 10 Mar 2024 17:25:48 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/retention-rate-2/ Qu’est-ce que le taux de rétention ? Le taux de rétention est le pourcentage de clients qui continuent à utiliser votre service ou votre produit sur une période prédéterminée. Il s’agit d’un indicateur important, en particulier pour les entreprises qui proposent des abonnements, car il indique l’ampleur des recettes de votre entreprise, que vous obteniez […]

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Le taux de rétention mesure le pourcentage de clients ou d’utilisateurs que votre entreprise ou votre produit conserve sur une période donnée.

Qu’est-ce que le taux de rétention ?

Le taux de rétention est le pourcentage de clients qui continuent à utiliser votre service ou votre produit sur une période prédéterminée. Il s’agit d’un indicateur important, en particulier pour les entreprises qui proposent des abonnements, car il indique l’ampleur des recettes de votre entreprise, que vous obteniez ou non de nouveaux clients. 

Taux de rétention par rapport au taux d’attrition

Les entreprises évaluent le contraire de la fidélisation en calculant leur taux de churn – attrition, ou de turnover de la clientèle. 

Le taux de churn correspond au pourcentage de clients que vous perdez au cours d’une période prédéterminée, tandis que le taux de fidélisation correspond au pourcentage de clients qui s’inscrivent et qui restent avec vous. Un taux de churn élevé peut signifier que vous dépensez beaucoup d’argent pour acquérir des utilisateurs mais que vous n’obtenez pas le meilleur retour sur investissement (ROI) possible. 

Taux de rétention par rapport au lifetime value du client

Alors que le taux de rétention mesure le nombre de clients que votre entreprise peut conserver sur une période donnée, la customer lifetime value (CLV) détermine la valeur de ces clients pendant toute la durée de leur relation avec votre activité. Une CLV élevée indique une fidélité à la marque, une bonne adéquation produit-marché et des revenus récurrents provenant des clients existants. 

Pourquoi le taux de rétention est-il important ?

De nombreux analystes et entrepreneurs estiment que la rétention de la clientèle est l’indicateur le plus important pour déterminer le succès d’une entreprise. En voici plusieurs raisons.

Vous aide à comprendre les performances de votre produit ou service

Les taux de rétention peuvent aider à comprendre la performance de votre produit ou service au fil du temps avec chaque client. Un taux de rétention plus élevé est meilleur dans l’ensemble, car les clients qui continuent d’utiliser votre service ou votre produit offrent de plus grandes possibilités de monétisation. 

Savoir aussi pourquoi de nombreux clients cessent d’utiliser vos produits

Déterminer le taux de rétention de votre entreprise peut également vous aider à comprendre pourquoi de nombreux clients cessent d’utiliser vos produits ou services et où vous vous situez à plus grande échelle, au niveau de la performance des produits. 

Ces informations peuvent vous aider à déterminer ce qu’il faut améliorer et comment étendre la CLV de votre entreprise. Par exemple, si vous avez une application de jeu et que vous remarquez que les utilisateurs se désintéressent généralement à la fin de la période d’onboarding, vous avez alors identifié un domaine clé à améliorer.

Aider à analyser le service clientèle

En suivant le taux de rétention, vous pouvez mieux comprendre les performances de votre service clientèle et voir dans quelle mesure il répond aux préoccupations de vos clients. Il peut également vous aider à évaluer dans quelle mesure vous tenez les promesses que vous avez faites à vos clients. 

Déterminer l’efficacité de votre campagne marketing

La fidélisation aide à comprendre l’efficacité de votre campagne marketing et les stratégies qui semblent les plus efficaces pour vos clients potentiels. 

Lorsque les clients restent, vous pouvez investir davantage dans vos efforts marketing actuels. Lorsque les clients se désintéressent, vous pouvez être amené à réévaluer vos campagnes marketing et à y apporter des modifications.

Comment calculer le taux de rétention

Examinons quelques façons de calculer le taux de rétention de la clientèle.

La formule de base

Vous avez besoin de trois éléments d’information pour calculer le taux de rétention de votre entreprise à l’aide de la formule de base :

  • Le nombre de clients au début d’une période définie
  • Le nombre de clients que votre entreprise a acquis au cours de la période
  • Le nombre de clients à la fin de la période

Une fois ces chiffres déterminés, vous pouvez les insérer dans la formule suivante :

Par exemple, supposons que votre application mobile comptait 1 000 utilisateurs au début du premier trimestre et qu’elle en compte 1 200 à la fin du trimestre. Si vous avez gagné 300 nouveaux utilisateurs au cours du premier trimestre, le taux de rétention de votre application sera de 90 %. Voici l’équation :

  • Taux de rétention des clients = [(1,200 – 300) / 1,000] x 100
  • Taux de rétention des clients = (900 / 1000) x 100
  • Taux de rétention des clients = 0.9 x 100
  • Taux de rétention des clients = 90%

Analyse de cohorte

L’analyse de cohorte consiste à diviser un grand groupe de clients ou d’utilisateurs en segments plus petits (appelés cohortes) qui partagent des caractéristiques spécifiques sur une période donnée. Ces caractéristiques peuvent inclure une langue ou une région commune, une date d’acquisition ou des articles préférés, par exemple. 

La réalisation d’une analyse de cohorte ne permet pas d’identifier les causes de variation du taux de rétention. A l’inverse, il vous donne un aperçu des tendances des clients, ce qui vous permet de mieux comprendre pourquoi ils s’engagent ou non avec votre produit ou votre application. 

Il existe deux types d’analyse de cohorte.

Cohortes d’acquisition

L’analyse des cohortes d’acquisition divise les utilisateurs en fonction de la date d’acquisition ou d’inscription au produit. Comme pour toute autre cohorte, l’acquisition – téléchargement d’une application, achat d’un produit ou inscription auprès d’une marque – doit avoir lieu dans un délai défini. 

Supposons que vous soyez un développeur d’applications et que vous souhaitiez mesurer le succès d’une application nouvellement lancée. Vous pouvez diviser le nombre de téléchargements en cohortes pour chaque jour de la semaine de lancement, puis pour chaque semaine du premier mois. 

Ce processus vous permet de déterminer le nombre d’utilisateurs qui continuent à utiliser l’application à partir de leurs points de départ respectifs. Vous pouvez alors voir où le taux de rétention des clients commence à diminuer. 

Est-ce après le premier jour d’utilisation ? La première semaine ? Ou le premier mois ? Vous pouvez alors réduire les problèmes potentiels qui pourraient être à l’origine d’un faible taux de rétention. 

Il est important de noter que les données issues de l’analyse d’acquisition ne fournissent que des statistiques ou des chiffres. Elle ne permet pas de déterminer avec précision les raisons pour lesquelles les clients se détournent de l’offre. C’est là que l’autre type d’analyse de cohorte devient utile. 

Cohortes comportementales

L’analyse des cohortes comportementales regroupe vos clients ou utilisateurs en fonction de la manière dont ils interagissent avec votre produit. Si vous avez une application mobile, par exemple, ces comportements peuvent inclure des installations d’applications, des désinstallations d’applications, des lancements d’applications, des transactions ou une combinaison de ces actions.

Grâce à l’analyse des cohortes comportementales, vous pouvez analyser les comportements communs de vos utilisateurs les plus engagés et trouver les points sensibles de votre application mobile. De même, vous pouvez suivre des cohortes pendant une période donnée afin de déterminer combien de temps elles restent actives après avoir interagi avec la fonction délicate de votre application. 

Par exemple, si vous êtes préoccupé par l’expérience d’onboarding des utilisateurs de votre app, vous pouvez effectuer un A/B test pour proposer différentes expériences d’accueil à divers utilisateurs. Vous pouvez ensuite suivre leur comportement au cours de la première semaine en tant que cohortes distinctes. Cette approche vous permet de comparer les taux de rétention et de découvrir si une option réussit mieux à engager vos utilisateurs. 

Calculer le taux d’achat répété

Votre taux d’achats répétés est l’épine dorsale de la rétention de votre clientèle. Il mesure le pourcentage de clients disposés à effectuer un second achat. 

Déterminer votre taux d’achats répétés est un excellent moyen d’évaluer l’efficacité de votre stratégie de rétention. Plus il est élevé, plus les utilisateurs ou les clients sont disposés à revenir. Un taux d’achat répété élevé confirme que votre produit ou service offre une grande valeur à vos clients.

Un moyen simple de déterminer le taux de ré-achat de votre produit consiste à diviser le nombre de clients ayant effectué plus d’un achat au cours d’une période donnée par le nombre total de clients au cours de cette même période. 

Voici l’équation :

Rétention sur App : le benchmark

Un bon taux de rétention dépend de plusieurs facteurs, notamment de la plateforme et du secteur ou de la catégorie de votre application. Vous voudrez connaître votre taux, car il indique la proportion de personnes qui utilisent encore votre application au cours d’une période donnée après l’avoir installée.

Une étude a révélé que le taux de rétention moyen dans 31 catégories d’applications mobiles était d’environ 25 % le premier jour. Elle tombe ensuite à environ 6 % au 30e jour. Les médias et les services professionnels affichent les taux de rétention les plus élevés (84 %), tandis que les secteurs des voyages, de l’hôtellerie et de la restauration ont les taux les plus bas (55 %). 

Il est important de comprendre les critères de rétention des applications pour s’assurer que votre application reste compétitive sur le marché. Voici les taux moyens de rétention quotidienne des applications (basés sur la rétention au premier et au 30e jour) par plateforme et par catégorie :

Android

  • Livres
    • Jour 1 : 29.43%
    • Jour 30 : 8.11%
  • Business
    •  Jour 1 : 16.09%
    •  Jour 30 : 6.98%
  • Casino – Real Money et paris sportifs
    • Jour 1 : 28.15%
    •  Jour 30 : 28.15%
  • Dating :
    • Jour 1 : 28.30%
    • Jour 30 : 8.78%
  • Enseignement
    • Jour 1 : 13.93%
    • Jour 30 : 2.69%
  • Finance
    • Jour 1 : 16.96%
    • Jour 30 : 9.27%
  • Divertissement
    • Jour 1 : 17.10%
    • Jour 30 : 4.65%

iOS

  • Livres
    • Jour 1 : 21.83%
    • Jour 30 : 7.74%
  • Business
    • Jour 1 : 13.88%
    • Jour 30 : 6.46%
  • Casino – Real Money et paris sportifs
    • Jour 1 : 25.05%
    • Jour 30 : 25.05%
  • Dating :
    • Jour 1 : 28.95%
    • Jour 30 : 7.01%
  • Enseignement
    • Jour 1 : 14.59%
    • Jour 30 : 3.23%
  • Finance
    • Jour 1 : 21.58%
    • Jour 30 : 10.74%
  • Divertissement
    • Jour 1 : 17.83%
    • Jour 30 : 4.42%

Les critères de rétention des applications peuvent vous donner un point de départ pour comprendre où se situe votre application mobile sur le marché. 

À partir de là, il est préférable de suivre votre taux de rétention hebdomadaire, mensuel et annuel et de le comparer à vos performances antérieures. Ce processus vous aide à déterminer les points faibles de votre application et ceux pour lesquels vous disposez d’indices clairs de réussite.

Comment améliorer votre taux de rétention

Améliorer la fidélisation des clients de votre produit n’est pas toujours rapide. Il faut souvent un peu de recherche pour identifier les problèmes qui affectent vos efforts de rétention – et il faut ensuite de la persévérance et de la patience pour apporter les changements nécessaires. 

Voici quelques idées pour vous aider à améliorer le taux de rétention de vos produits et à accroître la réussite globale de votre entreprise :

1. Utiliser les feedback des clients pour identifier les faiblesses et s’améliorer constamment

Taux de rétention - feedback des clients

Lorsqu’il s’agit d’améliorer la rétention des clients, les feedbacks des utilisateurs est absolument essentiel. 

C’est relativement évident, car la façon dont les clients se sentent et perçoivent votre produit détermine en fin de compte s’ils deviendront des clients fidèles. 

Pour obtenir un retour d’information précis de la part des utilisateurs, envisagez de mettre en place des enquêtes de satisfaction ou une barre de commentaires sur votre site web ou votre plateforme. Les clients peuvent donner leur avis sur les raisons pour lesquelles ils utilisent votre produit, ce qu’ils apprécient et ce qu’ils souhaitent voir amélioré. 

Vous pouvez également inclure des sondages lorsque quelqu’un annule un abonnement, ce qui vous permet de connaître les raisons pour lesquelles les utilisateurs quittent le site. 

2. Fixer des attentes réalistes 

Vous voulez faire moins de promesses et plus de résultats. 

Cela signifie qu’il faut faire plus que ce qui est indiqué et aller plus loin pour satisfaire les clients. Cela offre un bon rapport qualité-prix de vos offres, ce que tous les clients souhaitent.

Lorsque vous établissez une relation avec votre client ou votre utilisateur, pensez à l’informer de ce qu’il reçoit et de ce à quoi il peut s’attendre. Vous devez toujours capter leur attention pour conclure la vente, mais ne faites pas trop de promesses. Soyez réaliste et faites de votre mieux pour dépasser les attentes de vos clients. 

Cette approche peut contribuer à créer une fidélité à la marque. Et lorsque vos clients sentent qu’ils peuvent vous faire confiance, ils reviennent.  

3. S’intéresser aux données sur les produits

L’un des moyens de savoir comment les clients réagissent à votre produit ou service est d’examiner leurs données comportementales, qui peuvent montrer quelles sont les caractéristiques de votre produit qui suscitent l’engagement. 

Par exemple, l’analyse des données de votre application de streaming peut révéler que la création d’une liste de lecture au cours de la première semaine d’intégration triple le taux de rétention à 30 jours. Vous pouvez ensuite utiliser des campagnes mail, des messages in-app et d’autres outils disponibles pour amener de nouveaux utilisateurs à la fonction de liste de lecture. 

4. Améliorer l’accueil des utilisateurs

Transformer un nouveau client en défenseur de la marque sur le long terme commence par un onboarding en douceur. Cette première impression peut faire ou défaire votre relation avec vos clients, alors ne laissez rien au hasard. 

L’un des principaux objectifs de l’onboarding est d’aider les utilisateurs à utiliser votre produit ou service le plus rapidement possible. Ce processus évite toute confusion et permet à vos clients de profiter plus rapidement des avantages de votre produit.

Faites donc en sorte que l’onboarding soit le plus court possible. Ne demandez que le minimum d’informations. Par exemple, est-il utile de demander la date d’anniversaire d’un utilisateur dans votre application ? S’il ne contribue pas directement à l’expérience utilisateur, réfléchissez-y à deux fois.

En outre, assurez-vous de fournir des étapes d’onboarding simples à suivre qui capturent l’essence de ce qu’est votre application et démontrent immédiatement sa valeur.

5. Tracez le parcours de votre client

Conseils sur le taux de rétention - parcours client

Une carte du parcours client est une représentation visuelle de l’expérience client avec votre service ou votre produit. Il couvre tous les points de contact des clients avec ce service/produit.

Cet outil visuel met en évidence les motivations des clients, les interactions clés tout au long de leur parcours et les zones de friction existantes ou potentielles du produit, c’est-à-dire tout ce qui limite l’adoption ou la rétention de l’utilisateur. 

En comprenant ces événements, vous pouvez mieux résoudre les problèmes actuels et apporter des améliorations aux produits afin d’améliorer l’expérience clients. Plus les clients sont satisfaits de leur expérience avec votre produit, plus ils sont susceptibles de rester fidèles et de défendre votre marque.

6. Faire en sorte que votre service ou votre produit reste en tête de liste

Vous ne pouvez pas arrêter de faire du marketing auprès d’une personne simplement parce qu’elle est déjà cliente. Sur le marché actuel, où la fidélité est faible et la concurrence élevée, il est essentiel de rester en tête. 

Vous pouvez y parvenir grâce à un certain nombre de stratégies de rétention clients. Parmi les bonnes options, citons l’organisation de concours sur les réseaux sociaux, l’envoi de mails d’information hebdomadaires et la publication de contenus à forte valeur ajoutée, tels que des podcasts, des vidéos ou des ressources PDF téléchargeables. 

7. Récompenser les clients fidèles

Si un client ne se sent pas apprécié, il suffira d’une erreur ou d’une « meilleure opportunité » chez un concurrent pour qu’il quitte le navire. C’est pourquoi il est essentiel de récompenser les clients qui restent. Une étude McKinsey de 2022 a révélé que 64 % des membres de programmes de fidélisation sont plus susceptibles d’acheter plus fréquemment et que 31 % sont prêts à payer un prix plus élevé pour rester fidèles à une marque. 

Récompenser la fidélité peut prendre la forme d’un maintien des droits acquis en cas d’augmentation des tarifs ou de l’envoi de surprises ou de primes lorsqu’un client passe sa quinzième ou sa vingtième commande. Si vous mesurez la fidélité en fonction de l’ancienneté d’un client, vous pouvez lui envoyer un article gratuit à certains intervalles, par exemple trois mois, six mois ou un an. 

8. Utiliser des mail automatisés pour inciter les clients inactifs à passer à l’action

Un autre moyen de favoriser la rétention est de veiller à ce que les clients soient aussi actifs que possible. 

Si un client est resté inactif pendant plusieurs semaines, vous pouvez configurer un mail automatisé via votre logiciel CRM afin d’encourager l’utilisateur à agir. 

Par exemple, si vous suivez les interactions des utilisateurs avec votre application et que vous remarquez qu’ils n’ont utilisé que quelques fonctions, un mais expliquant comment utiliser d’autres fonctions peut réactiver leur intérêt. Les mails peuvent inclure un contenu éducatif, tel que des études de cas réussies d’autres clients ou des guides de bonnes pratiques. Cette approche peut également contribuer à améliorer la fidélité à la marque, car elle permet d’établir votre marque en tant qu’expert du secteur. 

Points clés à retenir

  • Le taux de rétention est un indicateur qui mesure le pourcentage de clients qui utilisent encore votre service ou votre produit après une période donnée.
  • Vous pouvez calculer votre taux de rétention en comparant le nombre de clients de votre marque au début d’une période donnée avec le nombre de clients de votre marque à la fin de cette période.
  • Un taux de rétention élevé signifie que vos clients existants apprécient votre service ou votre produit et constituent une source durable de revenus.
  • Vous pouvez déterminer le taux de rétention de votre marque de plusieurs façons, notamment en utilisant la formule de base, en effectuant une analyse de cohorte et en calculant le taux d’achat répété de votre marque. 
  • Parmi les stratégies permettant d’augmenter le taux de rétention de vos produits, citons la collecte de feedback clients, l’exploitation des données relatives aux produits et la réalisation d’une cartographie de l’expérience client. Cela vaut également la peine de récompenser la loyauté et de veiller à ce que votre marque reste en tête de liste.

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Taux de conversion (Conversion rate) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/conversion-rate/ Tue, 05 Mar 2024 12:01:22 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/taux-de-conversion/ Qu’est-ce que le taux de conversion ? Un taux de conversion est utilisé pour mesurer l’efficacité d’une campagne ou d’un contenu. Plus précisément, il indique la fréquence à laquelle les visiteurs ou utilisateurs ont effectué l’action souhaitée, par exemple cliquer sur un lien, en s’inscrire à un événement ou en effectuer un achat. Un taux […]

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Un taux de conversion est une métrique marketing qui indique le pourcentage de fois qu’un utilisateur a effectué l’action souhaitée.

Conversion rate

Qu’est-ce que le taux de conversion ?

Un taux de conversion est utilisé pour mesurer l’efficacité d’une campagne ou d’un contenu. Plus précisément, il indique la fréquence à laquelle les visiteurs ou utilisateurs ont effectué l’action souhaitée, par exemple cliquer sur un lien, en s’inscrire à un événement ou en effectuer un achat.

Un taux de conversion est toujours exprimé en pourcentage : plus il est élevé, plus votre campagne est réussie. Les taux de conversion moyens varient selon le secteur d’activité, mais ils se situent généralement dans les limites les plus basses. Par exemple, seulement 2 % des téléchargements d’applications aboutissent généralement à un achat. Cela signifie qu’une légère modification de votre taux de conversion suffit pour avoir un impact important.

Pourquoi votre taux de conversion est-il important ? 

Votre taux de conversion est précieux car il vous indique l’efficacité d’une page ou d’un contenu.

Après tout, vous ne produisez pas du contenu pour le plaisir. Tout a un objectif dans le cadre de votre plan marketing, qu’il s’agisse d’encourager les utilisateurs à acheter, à s’inscrire ou à effectuer une autre action. Bien que les statistiques telles que les pages vues ou les impressions soient informatives, elles ne vous indiquent pas si votre contenu rempli vraiment son office, qui consiste à pousser les utilisateurs à agir. 

Prenons l’exemple d’une campagne publicitaire digitale dont l’objectif de conversion est d’augmenter le nombre de téléchargements d’applications. Vous aurez peut-être un bon taux de clics (CTR) sur la liste des applications, mais si peu de personnes téléchargent l’app, votre campagne ne fonctionne pas comme elle le devrait. 

Les taux de conversion aident les spécialistes marketing à comprendre les points faibles de leur funnel marketing. Dans l’exemple ci-dessus, l’annonce elle-même fonctionne bien (elle attire clairement l’attention des internautes), mais la landing page ou l’offre promotionnelle peuvent présenter des problèmes que vous devez résoudre. 

Comment calculez-vous votre taux de conversion ?

De nombreuses plateformes d’analyse comme Google Analytics ou AppsFlyer calculent le taux de conversion pour vous une fois que vous avez défini vos objectifs. Mais vous pouvez le calculer vous-même à l’aide d’une formule simple. 

Il vous suffit de prendre votre nombre de conversions (utilisateurs ayant effectué l’action souhaitée) et de le diviser par le nombre d’interactions avec votre contenu (vues, ouvertures ou clics, par exemple). Multipliez ensuite ce nombre fractionnaire par 100 pour obtenir votre pourcentage : 

Formule du taux de conversion

Par exemple, si une landing page compte 1 000 vues et que 25 de ces sessions ont donné lieu à un achat, vous avez un taux de conversion de 2,5 % (25/1 000 = 0,025 ou 2,5 %). 

Quels sont les facteurs qui influent sur les taux de conversion ?

Pensez à la complexité de la décision d’achat moyenne en ligne. Est-ce que j’aime le produit ? Cela fonctionnera-t-il avec l’espace ou l’appareil que j’ai à l’esprit ? Que disent les critiques ? Est-ce que ça vaut le coup ? Puis-je l’acheter ailleurs pour moins cher ? Puis-je faire confiance à cette entreprise ? Vous devez capter l’attention de l’utilisateur et surmonter les objections dans un laps de temps très court.

Bien entendu, vous devez démontrer la valeur de votre produit ou service à l’aide de messages et d’images forts. Mais cela ne suffit pas en soi. Vous avez également besoin d’un puissant appel à l’action et d’une expérience utilisateur fluide. Voici les principaux facteurs qui influent sur les taux de conversion. 

  1. Temps de chargement de la page. Les consommateurs ont tendance à rebondir (bounce rate) si le chargement d’un site prend plus de quelques secondes : ils perdront tout intérêt ou décideront de ne pas y faire confiance. Une étude menée par Portent montre qu’un site se chargeant en une seconde convertit 2,5 fois plus de clients qu’un site qui se charge en cinq secondes.  
  1. Design de page. La conception de votre site Web et de vos pages est essentielle à l’optimisation de votre expérience utilisateur. Il va sans dire que votre site Web doit être optimisé pour l’affichage mobile et suivre les meilleures savoir-faire en design Web. Utilisez des images, des graphiques, des vidéos et des sous-titres pour séparer les gros morceaux de texte. Veillez à ce que votre contenu soit précis et pertinent, et faites ressortir les appels à l’action.  
  1. Différenciation. Si votre page est hébergée sur un site de vente tiers comme Amazon ou les stores d’applications Apple ou Android, vous n’avez aucun contrôle sur la conception de la page. Votre contenu sera également mis côte à côte avec celui de vos concurrents, qui vendront peut-être à peu près le même produit. Suivez les meilleures pratiques spécifiques à chaque site pour optimiser les conversions sur le marché, et utilisez des « preuves sociales », et des images accrocheuses pour faire ressortir votre offre.
  1. Prix et offre. Il se peut que votre utilisateur soit intéressé par votre produit ou service, mais qu’il soit rebuté par vos prix. Réalisez un Benchmark avec la concurrence pour vous assurer que vos frais et votre structure de prix se situent dans la fourchette moyenne de produits ou services comparables. L’utilisation d’offres promotionnelles peut créer un sentiment d’urgence pour inciter les utilisateurs à effectuer une conversion. 
  1. Message du CTA. Le facteur le plus important qui influe sur votre taux de conversion est votre appel à l’action (CTA). Un contenu efficace se sert des instructions pour inciter l’utilisateur à rester en mouvement. Indiquez clairement aux utilisateurs la prochaine étape à suivre et choisissez les bons mots pour y parvenir. Au-delà des messages CTA classiques tels que « Inscrivez-vous » et « En savoir plus », sortez des sentiers battus pour souligner l’importance de passer à l’action. Par exemple, essayez « Commencez à économiser » au lieu de simplement « Inscrivez-vous », ou « Découvrez votre prochaine destination » au lieu de « En savoir plus ». Trouvez l’inspiration des autres pour le CTA et testez pour trouver ce qui fonctionne. 
CTA pour taux de conversion

6. Format et placement du CTA. Le type de CTA le plus courant est un bouton, mais ce n’est certainement pas le seul. Les bannières, les fenêtres contextualisées, les diapos, les formulaires et les liens en ligne sont autant d’options permettant d’inciter l’utilisateur à agir. Si vous vous en tenez au bouton qui a fait ses preuves, faites attention à sa conception (contraste des couleurs et espacement) et à son placement sur la page. Pour un contenu plus long, par exemple, vous souhaiterez peut-être inclure un CTA au-dessus du fold et un autre à la toute fin.

Les meilleurs conseils pour améliorer votre taux de conversion

Personne ne veut d’un funnel marketing qui laisse échapper des utilisateurs potentiels.. Suivez ces conseils pour optimiser votre taux de conversion afin d’augmenter vos revenus et le retour sur investissement (ROI) de vos dépenses marketing. 

Trois erreurs de taux de conversion à éviter

Votre taux de conversion est donc inférieur à celui de vos pairs. Et maintenant ? Assurez-vous de ne pas être la proie de ces faux pas en matière de taux de conversion pour les débutants. 

1. Mesurer le mauvais choix

Si vous avez élaboré une stratégie de contenu solide, chaque pub ou élément de contenu doit mener à un objectif. Cependant, l’objectif ne doit pas être le même pour tous les contenus. Bien entendu, votre objectif ultime en matière de marketing est de permettre à quelqu’un de finaliser un achat. Pour le contenu du bas du funnel, c’est ce que vous allez mesurer. 

Pour le contenu situé en haut ou au milieu de ce funnel, il se peut toutefois que ce ne soit pas l’objectif qui définira une conversion. Vous devriez plutôt vous pencher sur la génération de leads et les conversions liées au lead nurturing. Par exemple, un utilisateur télécharge une ressource, s’abonne à une newsletter ou aime votre page de réseau social. 

Une fois que vous avez franchi la précieuse étape consistant à ajouter quelqu’un à votre liste d’e-mails, vous pouvez mesurer les conversions en fonction de votre prochain objectif, qui peut être l’inscription d’une personne à un essai gratuit, par exemple. 

2. Vous demandez trop d’informations?

Les consommateurs abandonnent près de 70 % des paniers d’achats en eCommerce. Le coupable probable ? Un processus de paiement fastidieux. Le processus de paiement en ligne comprend en moyenne 23 éléments, soit deux fois plus que le chiffre considéré comme optimal par l’Institut Baymard. 

Les longs formulaires de génération de prospects peuvent également amener les gens à les abandonner avant de les remplir. Les clients abandonnent les conversions lorsqu’ils estiment que le temps investi ou l’expérience l’emportent sur les avantages escomptés. 

3. Ne pas donner suffisamment d’informations

Trouver la bonne quantité d’informations à partager peut être un équilibre délicat. Cependant, les clients doivent en percevoir clairement la valeur avant de passer à l’étape suivante. Vous pouvez y parvenir en :

  • Lister des avantages matériels mais aussi plus abstraits
  • Afficher plusieurs images, vidéos et informations sur les produits
  • Publier des recommandations telles que les avis des clients, les récompenses du secteur ou la couverture médiatique

Les gens font également preuve de prudence dans la manière dont ils divulguent leurs informations personnelles. Si vous leur demandez de s’inscrire à une liste d’e-mails, par exemple, indiquez-leur à quelle fréquence ils peuvent s’attendre à être contactés et quelle est votre politique de confidentialité (afin qu’ils puissent être sûrs que vous ne vendrez pas leurs données).

Si vous encouragez les utilisateurs à profiter d’un essai gratuit ou d’une offre spéciale, vous pouvez ajouter le mot « gratuit » dans votre CTA ou utiliser d’autres garanties telles que « aucun achat nécessaire » ou « aucune carte de crédit requise ». Cela permet d’éliminer les craintes et aide les gens à se sentir plus à l’aise lorsqu’ils profitent d’une offre.

Trois moyens d’augmenter votre taux de conversion

Une fois que vous avez ciblé la bonne action de conversion et créé votre lead generation ou votre lien d’achat, optimisez votre contenu pour convaincre davantage d’utilisateurs de convertir. Suivez ces conseils en matière de taux de conversion pour vous aider à augmenter vos revenus et à augmenter le ROI de vos dépenses marketing. 

1. Localisez votre contenu

Imaginez que vous cliquiez sur une annonce pour découvrir que la landing page est rédigée dans une autre langue, contient des références culturelles que vous ne comprenez pas ou indique son prix dans une autre devise.

Il est essentiel de localiser votre contenu si vous avez une audience globale, en particulier si vous menez des campagnes payantes dans plusieurs pays. Tout d’abord, localisez vos messages pour tenir compte de la langue, des différences dialectales et des références culturelles. La création de pages Web et de listes d’applications spécifiques à chaque pays peut vous aider à y parvenir. 

Localisation du taux de conversion

Ensuite, localisez vos images pour vous assurer qu’elles correspondent au groupe démographique auquel vous vous adressez. 

Enfin, assurez-vous que les aspects fonctionnels de votre conversion, tels que la devise, les frais d’expédition et la disponibilité des produits, sont localisés dès le départ. C’est une mauvaise expérience pour un client d’arriver à la fin d’une expérience de paiement et de constater que les frais d’expédition seront nettement plus élevés ou qu’un produit n’est pas disponible dans sa région.

2. Affinez votre message

Si votre annonce suscite un bon engagement mais que votre taux de conversion est à la traîne, examinez de plus près le contenu de votre landing page. Est-ce qu’elle attire l’attention ? La valeur de votre offre est-elle claire ?  Ou pourrait-il y avoir un décalage entre votre message publicitaire et le message de votre landing page ?

Le meilleur contenu permet de situer le problème, et de déterminer comment votre produit ou service le résoudra. Si ce n’est pas nécessaire ou s’il n’y a pas de solution claire, il n’y a aucune raison d’acheter.

Il est judicieux de faire appel à un rédacteur ou à une agence de rédaction professionnel pour optimiser le contenu de votre page. Utilisez des études de marché ou des A/B tests via du contenu dynamique pour découvrir quel message trouve le meilleur écho auprès de votre public. 

3. Créez un sentiment d’urgence

Ce n’est pas pour rien que les ventes suscitent un tel engouement : elles nous donnent l’impression d’avoir gagné quelque chose. En créant un sentiment d’urgence, vous donnez aux gens l’impression de gagner en économisant de l’argent, ou en obtenant quelque chose gratuitement. À l’inverse, vous créez un sentiment de manque qui pourrait leur faire passer à côté de quelque chose en n’agissant pas. Jetez un œil à ces exemples :

  • « Profitez de votre offre spéciale avant le 1er décembre »
  • « Inscrivez-vous aujourd’hui pour économiser 100$ »
  • « Dépensez 50$ et recevez un cadeau gratuit »

Même si vous n’avez pas de réduction ou de cadeau à offrir, vous pouvez toujours utiliser cette tactique. Dans un exemple B2C, vous pouvez mettre en évidence les moments où le stock est faible (« Les stocks se vident » ou « Les derniers disponibles »). Dans le SaaS B2B, vous pouvez positionner la valeur de manière très directe. Si vous avez avancé l’argument selon lequel un service permet de gagner du temps, par exemple, utilisez un CTA tel que « Économisez 2 heures de travail administratif cette semaine ». 

Points clés à retenir

Votre taux de conversion est peut-être faible, mais très efficace. Grâce à cette métrique, vous pouvez supprimer les indicateurs les moins significatifs, tels que le trafic, afin de déterminer dans quelle mesure votre contenu est efficace pour encourager les utilisateurs à agir. Avec des outils et des stratégies d’optimisation à portée de main, vous pouvez augmenter votre pourcentage et générer plus de prospects et de ventes. 

N’oubliez pas ces principes :

  • Déterminez les actions que vous souhaitez que les utilisateurs prennent dans le cadre de votre stratégie marketing. Outre les ventes, n’oubliez pas la création d’audience et les conversions par lead génération.
  • Portez autant d’attention à votre format et à votre design qu’au message.
  • Créez un CTA exceptionnel pour rendre votre offre irrésistible : montrez aux utilisateurs la valeur que votre produit ou service apportera.
  • Utilisez l’émotion et le sentiment d’urgence pour inciter les utilisateurs à agir.
  • Suivez votre taux de conversion au fil du temps. Utilisez les A/B tests ou apportez de petites modifications au fil du temps pour vous assurer que les résultats sont à la hausse.

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Taux d’attrition (Churn rate) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/churn-rate/ Tue, 05 Mar 2024 11:12:53 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/le-taux-dattrition/ Qu’est-ce que le taux d’attrition (churn rate) ? Le taux d’attrition, également appelé churn rate, mesure la rapidité avec laquelle une entreprise perd des clients au cours d’une période donnée. Dans le contexte des applications mobiles, il représente le pourcentage d’utilisateurs qui ont cessé d’utiliser votre application – qu’ils l’aient désinstallée, résilié leur abonnement ou […]

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Le taux d’attrition quantifie la proportion de clients cessent d’utiliser votre produit ou service. Dans le monde des applications mobiles, il s’agit du taux de désengagement des utilisateurs.

Qu’est-ce que le taux d’attrition (churn rate) ?

Qu'est-ce que le taux d’attrition (churn rate) ?

Le taux d’attrition, également appelé churn rate, mesure la rapidité avec laquelle une entreprise perd des clients au cours d’une période donnée. Dans le contexte des applications mobiles, il représente le pourcentage d’utilisateurs qui ont cessé d’utiliser votre application – qu’ils l’aient désinstallée, résilié leur abonnement ou qu’ils l’aient simplement laissée sans l’ouvrir. 

Ce désengagement peut se produire si les utilisateurs ne sont pas satisfaits de votre application, s’ils sont passés à un concurrent ou en raison d’autres facteurs, financiers par exemple. 

Un taux d’attrition élevé peut avoir un impact significatif sur la rentabilité de votre entreprise et entraver son expansion. C’est pourquoi il est essentiel de faire de la réduction du churn rate et de l’amélioration de la fidélisation des utilisateurs une priorité absolue pour assurer une croissance continue et une réussite commerciale.

Churn rate vs taux de rétention

Churn rate vs taux de rétention

Le churn rate quantifie la proportion d’utilisateurs perdus au cours d’une période donnée, tandis que le taux de rétention indique le pourcentage de clients existants qui continuent à utiliser votre application.

Supposons que votre application mobile commence le mois avec 1 000 utilisateurs, mais qu’à la fin du mois, 200 utilisateurs aient décidé de passer à un concurrent. Dans ce scénario, le churn rate de votre application pour ce mois est de 20 %. En revanche, le taux de rétention pour le même mois serait de 80 %, reflétant le pourcentage d’utilisateurs qui restent fidèles à votre application.

Pourquoi le taux d’attrition est-il important ?

Le taux d’attrition des utilisateurs est un indicateur fiable pour évaluer la satisfaction des clients et la santé de l’entreprise, et sert souvent d’indicateur clé de performance pour les sociétés d’applications. Vous pouvez l’utiliser pour savoir combien d’utilisateurs quittent votre application et pourquoi, ce qui vous permet de déterminer le degré d’attirance ou de stabilité (le stickiness) de votre application.

Il est également important de noter que la perte d’un client n’est pas seulement synonyme de perte de revenus. Vous devez également faire face aux coûts d’acquisition de nouveaux utilisateurs, y compris les dépenses de marketing et les coûts de vente. 

Le churn rate renseigne les entreprises sur la (LTV) des utilisateurs, et fixe le budget pour l’acquisition de nouveaux clients (coût d’acquisition des clients, ou CAC). En analysant le ratio LTV to CAC, vous pouvez évaluer l’efficacité des dépenses. Si votre ratio est de 1:1, vos coûts annulent votre valeur et vous ne réalisez aucun bénéfice. 

Voici d’autres raisons pour lesquelles le suivi du taux d’attrition est essentiel à la réussite d’une application :

  • Améliorez la rétention client. Il est plus rentable de fidéliser les utilisateurs d’applications existants que d’en acquérir de nouveaux. En fait, une réduction du taux d’attrition de seulement 1 % permet d’entraîner des économies substantielles.
  • Déterminer l’adéquation entre le produit et le marché : Un churn rate élevé peut indiquer une inadéquation entre votre application et votre public cible, et donc, la nécessité de procéder à des ajustements pour répondre aux besoins des utilisateurs.
  • Booster le lifetime value (Customer LTV) Le taux d’attrition a un impact direct sur le LTV, car les utilisateurs existants apportent une plus grande valeur à votre résultat net. Cela signifie qu’il est essentiel d’améliorer la LTV pour justifier des dépenses plus importantes en matière d’acquisition d’utilisateurs. .

Comment calculer le taux d’attrition ?

Voici la formule pour calculer votre taux d’attrition :

Comment calculer le taux d'attrition

En mesurant régulièrement ce taux, vous pouvez suivre et améliorer la satisfaction et le stickiness des utilisateurs.

Vous pouvez le faire tous les mois ou tous les ans. Le suivi du churn rate mensuel vous permet d’examiner de près la croissance et la fidélisation d’un mois à l’autre, tandis que les taux annuels révèlent les tendances de croissance d’une année sur l’autre. Voici comment fonctionnent les deux cadres temporels :

Exemple de taux mensuel pour les applications :

Supposons que vous ayez une application qui commence le mois avec 10 000 utilisateurs et le termine avec 8 500.

Formule de calcul du churn rate mensuel

Un taux mensuel de 15 % signifie que vous avez perdu 15 % de votre base d’utilisateurs au cours du mois.

Exemple de taux annuel pour les applications :

Supposons que le nombre d’utilisateurs de votre application soit de 50 500 au début de l’année et qu’il soit tombé à 45 000 à la fin de l’année.

Formule de calcul du taux d’attrition annuel

Le taux d’attrition annuel de votre application est de 10,89 %, ce qui indique que votre base d’utilisateurs a diminué de 10,89 % au cours de l’année.

Qu’est-ce qui est considéré comme un “bon” taux d’attrition ?

Avoir un taux d’attrition nul est l’idéal pour toute entreprise, mais c’est un exploit inaccessible dans la réalité. Quelles que soient les circonstances, l’attrition des utilisateurs est inévitable. En fait, l’application moyenne perd 77 % de ses utilisateurs actifs quotidiens (DAU) dans les trois premiers jours suivant son installation.

En général, un taux de annuel compris entre 4 et 7 % est considéré comme gérable. Toutefois, il est essentiel de comprendre que les différents secteurs d’activité ont leurs propres critères de référence pour déterminer ce qui constitue un taux de churn acceptable. Ainsi, un “bon” taux pour votre application doit non seulement correspondre à vos objectifs spécifiques, mais aussi tenir compte des standards en vigueur dans votre secteur d’activité.

Comment savoir pourquoi mes utilisateurs se désintéressent de mes services ?

Qu’il s’agisse d’une application défectueuse, d’une mauvaise assistance à la clientèle, de prix d’abonnement élevés ou d’un public cible inadéquat, les utilisateurs peuvent vous quitter pour une multitude de raisons. Il se peut qu’ils n’obtiennent pas les résultats escomptés grâce à votre application, qu’ils estiment que vos concurrents sont meilleurs ou qu’ils ne voient plus l’intérêt de votre application.

identifier les causes profondes du churn

Alors, comment identifier la cause première du taux d’attrition de votre application ? Voici un guide rapide, étape par étape :

  1. Examinez vos données : Analyser les données des utilisateurs existants, en accordant une attention particulière aux schémas de rétention au cours de la première semaine, du premier mois et des 90 premiers jours. Cela vous aidera à identifier les tendances en matière de désinstallation.
  2. Repérer les pics de désinstallation : Ensuite, visualisez vos données de désinstallation et identifiez les moments où les utilisateurs se désintéressent de votre app. Concentrez-vous sur l’identification des pics dans les données pour comprendre où exactement vos utilisateurs se désengagent, c’est-à-dire les raisons de ces abandons. Par exemple, y a-t-il un bug dans votre application ? Les utilisateurs sont-ils frustrés par l’accès limité aux fonctionnalités de base ? Votre processus d’intégration met-il correctement en évidence les caractéristiques et les avantages de l’application ? 
  3. Analysez votre stratégie de communication : Pour minimiser le taux de churn, évaluez comment et à quelle fréquence vos équipes supports à la clientèle entrent en contact avec les utilisateurs. Examinez la manière dont vous touchez les utilisateurs de votre application et évaluez si ces efforts permettent de les réengager et de les fidéliser. Veillez à envoyer des messages et des rappels pertinents et opportuns afin d’établir une relation active. 

Conseils pour réduire le taux d’attrition

La lutte contre le churn

Ensuite, examinons les mesures que vous pouvez prendre pour réduire le taux d’attrition. 

Analyse de cohorte 

L’analyse des cohortes permet d’améliorer la fidélisation des utilisateurs en déterminant quand et pourquoi ils abandonnent. Vous pouvez ensuite étudier plus en détail les raisons qui ont conduit au churn et prendre des mesures ciblées pour maintenir l’intérêt des utilisateurs pour votre application. 

Comment l’analyse des cohortes peut-elle donc révéler les raisons pour lesquelles les utilisateurs abandonnent ? Il met en évidence les moments critiques du parcours de l’utilisateur. Au lieu de considérer tous les utilisateurs ensemble, l’analyse de cohorte les divise en groupes. En comparant ces groupes au fil du temps, il est plus facile de déterminer les causes profondes de l’attrition et d’identifier ce qui incite les utilisateurs à revenir.  

Voici quelques questions clés à poser : 

  • Canal d’acquisition : D’où viennent vos utilisateurs les plus performants ? (Par exemple, du search, du social, des pubs payantes, des referrals)
  • Les actions de l’utilisateur : Quelles sont les actions entreprises par les utilisateurs qui réussissent ? (Par exemple, créer un compte, créer une playlist, ajouter des amis)
  • Période de temps : Quelle est la rapidité avec laquelle les utilisateurs performants accomplissent ces actions ? (Par exemple, dans l’heure, le jour, la semaine)

Supposons par exemple que vous gériez une application de livraison de nourriture. Au début, les utilisateurs commandent dans les trois jours, mais dès la deuxième semaine, l’activité diminue. L’analyse des cohortes révèle que les utilisateurs fréquents se connectent entre 10 et 11 heures du matin, et que ceux qui accèdent à l’application après midi ont tendance à partir rapidement ou à abandonner leur panier, 98 % d’entre eux devenant inactifs en l’espace d’un mois. 

Vous pouvez envoyer des push personnalisés entre 10 et 11 heures du matin avec des codes promos pour stimuler l’engagement – une stratégie rendue claire par la segmentation des cohortes.

2 – Optimiser l’onboarding – le rendre fluide

Le churn se produit généralement au début du parcours de l’utilisateur, et le plus grand « coupable » est l’absence d’onboarding efficace qui apprend à utiliser votre application. Il incombe donc à l’utilisateur de comprendre le fonctionnement de l’application, ce qui est risqué.

Pour faciliter cette transition, mettez en place un processus d’intégration complet pour guider les nouveaux utilisateurs à travers les caractéristiques et les fonctionnalités de votre application. Réduisez le nombre d’étapes pour simplifier l’expérience au sein de l’application et faire en sorte que les utilisateurs atteignent plus rapidement le moment “phare” de votre application. Les utilisateurs se sentiront ainsi soutenus et habilités à se débrouiller avec votre application, ce qui les rendra moins susceptibles de la quitter.

3 – Personnaliser l’expérience de l’application

Les expériences personnalisées ne sont plus un luxe – aujourd’hui, les utilisateurs d’applications les attendent et les exigent. Ainsi, plus votre application répondra à leurs besoins, plus votre taux d’attrition sera faible.

Réfléchissez à la manière dont vous pouvez personnaliser l’expérience utilisateur de votre application en fonction de ce qu’il utilise le plus souvent, et des récompenses qui l’enthousiasment le plus. Utilisez des messages pertinents et ciblés qui trouvent un écho auprès de vos utilisateurs. 

Notez qu’il ne s’agit pas d’une tactique universelle. Vous devez exploiter les données comportementales telles que l’historique des recherches et des achats, les préférences de l’utilisateur, le type d’appareil et la localisation pour personnaliser les interactions.

4 – Réengager les utilisateurs par le biais d’owned media

L’envoi de rappels sur l’écran d’accueil de votre utilisateur est une tactique pratique pour encourager l’engagement et garantir des visites répétées. Utilisez les canaux de médias qui vous appartiennent, comme la messagerie in-app, les push, les SMS et les mails, pour contacter les utilisateurs avant qu’ils n’aient besoin de vous. Vous montrez ainsi que vous avez à cœur de les aider à tirer le meilleur parti de votre application.

5 – Utiliser le deep linking pour améliorer l’expérience utilisateur

Les deeplinks permettent aux développeurs de rediriger les utilisateurs vers des emplacements précis dans l’application, garantissant ainsi une expérience fluide et pratique. 

Imaginez qu’un utilisateur quitte votre application de jeu au milieu d’une partie. Vous pouvez leur envoyer un push pour les inciter à se réengager, et la relier à un deep link pour les amener directement à l’endroit exact du jeu où ils se sont arrêtés. 

Cela permet non seulement d’éviter la navigation manuelle dans l’application, mais aussi d’améliorer la rétention et l’engagement des utilisateurs.

6 – Colmater les fuites 

Pour éviter que les utilisateurs n’abandonnent votre application, vous devez comprendre pourquoi ils la quittent et y remédier. 

Vérifiez les données de votre application pour savoir exactement où ils abandonnent. Quelque chose ne fonctionne pas correctement ? Y a-t-il trop de tutos au début ? Peut-être envoyez-vous trop de messages ou leur demandez-vous de payer trop tôt ? L’examen minutieux de vos données vous aidera à identifier les causes du churn et à faire en sorte que davantage de personnes utilisent votre application en y prenant du plaisir.

Points clés à retenir

  • Le taux d’attrition (ou churn rate) mesure le nombre de clients que vous perdez sur une période donnée, ou le nombre d’utilisateurs qui cessent d’utiliser votre application. Les apps l’utilisent pour évaluer la satisfaction des utilisateurs et la viabilité de l’activité commerciale. 
  • Un churn rate élevé se traduit par une perte de revenus et une augmentation des coûts liés à l’acquisition de nouveaux utilisateurs. Il est donc essentiel de se concentrer sur la réduction du taux de churn et l’amélioration de la fidélisation des utilisateurs. Bien qu’il soit impossible d’atteindre un taux d’attrition nul, il est souhaitable de le maintenir aussi bas que possible. 
  • Le taux de churn et le taux de rétention sont des mesures opposées. Le taux d’attrition représente les utilisateurs perdus au cours d’une période donnée, tandis que le taux de rétention indique le pourcentage d’utilisateurs qui continuent à utiliser votre application.
  • Le taux d’attrition est calculé à l’aide de la formule suivante : (Utilisateurs initiaux – Utilisateurs finaux) / Utilisateurs initiaux x 100. Il peut être calculé mensuellement ou annuellement afin d’obtenir des informations sur la rétention des utilisateurs.
  • Les utilisateurs peuvent se désintéresser de l’app pour diverses raisons, qu’il s’agisse de problèmes techniques, de la concurrence ou de la perception sur sa valeur ajoutée. L’analyse des données, l’identification des schémas de désinstallation et l’optimisation de la communication peuvent vous aider à déterminer quand et pourquoi les utilisateurs se désintéressent de votre app.
  • Les stratégies visant à réduire le taux d’attrition comprennent l’analyse des cohortes pour comprendre le comportement des utilisateurs, l’optimisation de l’onboarding pour le rendre convivial, la personnalisation de l’expérience de l’application, le réengagement des utilisateurs par le biais de messages, l’utilisation de deep links pour des expériences fluides et la résolution des problèmes à l’origine de l’attrition, sur la base de l’analyse des données relatives à l’application.

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Attribution mobile https://www.appsflyer.com/fr/glossary/mobile-attribution/ Wed, 21 Jun 2023 14:18:16 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/attribution-mobile/ L’attribution mobile est une méthode permettant de déterminer quels sont les campagnes, les partenaires médias et les canaux qui ont permis l’installation d’applications spécifiques. Qu’est-ce que l’attribution mobile ? En termes simples, l’attribution mobile relie les installations d’applications aux efforts de marketing. Elle est importante pour les spécialistes marketing car elle leur permet de faire le […]

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L’attribution mobile est une méthode permettant de déterminer quels sont les campagnes, les partenaires médias et les canaux qui ont permis l’installation d’applications spécifiques.

Qu’est-ce que l’attribution mobile ?

En termes simples, l’attribution mobile relie les installations d’applications aux efforts de marketing.

Elle est importante pour les spécialistes marketing car elle leur permet de faire le lien entre leurs actions et les résultats.

Les marketeurs d’applications mobiles s’appuient sur des données d’attribution pour mesurer et optimiser leurs campagnes d’acquisition d’utilisateurs et leurs performances marketing, mais aussi pour comprendre comment les événements in-app, plus loin dans le funnel, affectent leurs efforts.

Savoir investir un avec budget marketing

Les fournisseurs d’attribution se répartissent en deux catégories : les fournisseurs biaisés et les fournisseurs non biaisés. Les fournisseurs d’attribution biaisés incluent dans leur business model la vente de données, ou l’achat et la vente de medias publicitaires mobiles. Cela peut créer un risque de conflit d’intérêts et de pratiques commerciales biaisées.

Les fournisseurs d’attribution impartiaux se concentrent exclusivement sur l’attribution en tant qu’activité principale, garantissant l’impartialité et l’indépendance en tant que tierce partie fiable. La confiance leur est accordée pour mesurer et rendre compte des performances des campagnes et pour informer des divergences entre les acteurs à l’achat et à la vente de publicité mobile.

La fourniture de données d’attribution en tant que service repose largement sur la confiance que le fournisseur de données d’attribution établit avec ses clients et ses partenaires. Lorsque cette confiance est violée, les produits et services du fournisseur d’attribution ne peuvent plus être perçus comme fiables. Il est extrêmement difficile pour un fournisseur d’attribution de se remettre d’un tel problème.

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Return on ad spend (ROAS) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/roas/ Wed, 14 Jun 2023 11:59:01 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/retour-sur-investissements-publicitaires-roas/ Qu’est-ce que le ROAS?  ROAS est l’abréviation de Return on Ad Spend (retour sur les dépenses publicitaires). Il s’agit d’une mesure qui aide les marketeurs d’applications à comprendre quelles des campagnes et publicités fonctionnent, ou ne fonctionnent pas, en mesurant le montant des revenus générés par rapport au budget dépensé. Le ROAS est généralement exprimé […]

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Qu’est-ce que le retour sur investissement publicitaire ?

Qu’est-ce que le ROAS? 

ROAS est l’abréviation de Return on Ad Spend (retour sur les dépenses publicitaires). Il s’agit d’une mesure qui aide les marketeurs d’applications à comprendre quelles des campagnes et publicités fonctionnent, ou ne fonctionnent pas, en mesurant le montant des revenus générés par rapport au budget dépensé.

Le ROAS est généralement exprimé sous forme de ratio, et plus le ratio est élevé, plus performante est la campagne. 

Supposons donc que vous ayez investi 1 500 $ en dépenses publicitaires pour une campagne qui a généré 6 000 $ de revenus pour votre application – votre ROAS serait de 4: 1, ce qui signifie que pour chaque dollar dépensé dans la publicité, vous avez généré 4 $ de revenus. Le calcul ressemblerait à ce qui suit :

6 000 $ (chiffre d’affaires) / 1 500 $ (dépenses publicitaires) = 4 $ ou 4:1 (ROAS)

Avoir un retour sur les dépenses publicitaires faible ou élevé est souvent un bon indicateur de la performance et de la rentabilité globales de la campagne et aide à prendre des décisions concernant les dépenses et la diversification des sources médias. 

Cela dit, pour bien comprendre la performance, il est nécessaire de prendre en compte d’autres métriques comme le CPA, la LTV, et l’ARPU, entre autres… Nous en discuterons plus en détail ci-dessous.

En bref, le ROAS est un peu comme le ROI, mais appliqué aux campagnes générant du trafic vers les applications mobiles.

Pourquoi le ROAS est-il important?

Le ROAS est important car il aide à répondre à la question fondamentale et essentielle : « mes efforts en marketing d’application fonctionnent-ils réellement ? . Cette donnée guide la prise de décision quant aux budgets. 

Par exemple, si vous avez lancé une campagne qui a attiré des utilisateurs de grande, qualité ayant généré des revenus importants pour votre application, mais que vous avez fini par payer plus que ce que vous avez gagné de ces mêmes utilisateurs, cette campagne ne peut pas être considérée comme un succès – et c’est exactement ce que ROAS vous aide à déterminer.

Il est bon d’examiner le ROAS à différents niveaux : la vue d’ensemble du budget publicitaire, des campagnes spécifiques à la plateforme à une seule campagne, au niveau des ad set, et même des créatives en fonction des types d’informations que vous espérez extraire.  

Note : Un ROAS même partiel peut être très utile, surtout si l’analyse prédictive est impliquée. Par exemple, supposons que vous constatiez que les utilisateurs générant 50% ou plus de leurs coûts au jour 3 sont susceptibles de devenir des utilisateurs rentables au jour 30. Vous pouvez utiliser ces informations pour supprimer les ad set sous-performants afin de garantir que votre ROAS reste positif. 

Cependant, bien que le ROAS soit une mesure puissante en soi, pour vraiment comprendre les performances, vous devez également examiner des mesures telles que CPA, ARPU et LTV. 

Toutes ces mesures cumulées entre elles vous aideront à prendre de meilleures décisions sur le budget futur, la stratégie marketing et même sur la roadmap de votre produit.

Comment calculer le ROAS

Le ROAS est facile à calculer – il suffit d’utiliser cette formule:

Calcule du ROAS

Le résultat est exprimé en pourcentage. Par exemple, si vous dépensez 1 000 $ pour une campagne publicitaire et que vous réalisez un bénéfice de 2 000 $, votre ROAS serait de 200 % (100 % étant le seuil de rentabilité – nous y reviendrons plus tard).

Exemple de calcul du ROAS

Bien sûr, vous pourriez vous retrouver avec un ROAS négatif. Par exemple, si vous avez dépensé 100 $ pour votre annonce et que vous n’avez généré que 50 $ de revenus, votre ROAS serait de 50 %. 

Un ROAS négatif signifie qu’il est temps de réévaluer vos créatives et vos canaux marketing pour découvrir où se situe le problème et optimiser en conséquence. 

ROAS à seuil de rentabilité (le Break-even ROAS)

Nous avons couvert les ROAS positifs et négatifs, mais il y a un autre terme que vous devriez connaître. Le ROAS à seuil de rentabilité est le moment où vous couvrez les coûts de votre publicité : il ne vous a pas fait faire de profit, mais ne vous a pas non plus fait perdre de l’argent. 

Le ROAS à seuil de rentabilité est une référence utile pour maintenir vos dépenses publicitaires sur la bonne voie et, dans certains cas, c’est tout ce que vous devez viser. Si vous menez une campagne de sensibilisation, par exemple, vous ne vous attendez pas à ce que les publicités génèrent d’énormes ventes. Mais si vous faites de la publicité pour augmenter vos revenus, vous pouvez fixer un objectif plus élevé. 

Vous pouvez utiliser la formule suivante pour calculer votre ROAS à seuil de rentabilité, exprimé en pourcentage : 

ROAS à seuil de rentabilité = 1 / marge bénéficiaire moyenne en % 

(Pour calculer votre marge bénéficiaire moyenne, prenez la order value moyenne et soustrayez vos order cost). Ensuite, transformez cela en pourcentage :

Marge bénéficiaire moyenne % = marge bénéficiaire moyenne / order value moyenne x 100.) 

Disons que votre application coûte en moyenne 3 $ par client à générer, et que vous la vendez pour 5 $ – vous réalisez un bénéfice moyen de 2 $ sur chaque vente. 

Votre marge bénéficiaire moyenne est de 2 / 5 x 100 = 40%. 

Ensuite, votre ROAS à seuil de rentabilité est de 1 / 40% = 250%. 

C’est le niveau auquel votre campagne publicitaire est rentabilisée. 

ROAS vs autres métriques

Connaissez-vous votre ROAS à partir de votre ROI ? Avec autant de mesures marketing disponibles et toute une armée d’acronymes, il est facile de s’embrouiller. Passons à travers le jargon pour découvrir en quoi les termes diffèrent et comment ils fonctionnent ensemble.

ROAS vs ROI

Le ROAS et le ROI (retour sur investissement) vous aident à comprendre si votre campagne a réussi ou non, mais c’est à ce niveau que les similitudes s’arrêtent. 

Le ROI calcule d’abord le coût total de la campagne publicitaire. Cela inclut le coût de la publicité elle-même, mais aussi toutes les autres ressources impliquées telles que l’IT, les coûts logiciels, la conception et la distribution. Le ROI examine ensuite le bénéfice et évalue le retour sur investissement global de la campagne.

ROAS vs ROI

La différence est que ROAS se concentre uniquement sur le profit généré par les dépenses directes sur une campagne publicitaire. Il ne tient pas compte des coûts supplémentaires, mais uniquement du coût de placement de l’annonce et du montant que vous avez généré comme conséquence directe. 

Alors que le ROI est largement utilisé dans toutes les entreprises et fonctions, le ROAS est un terme purement marketing et la base pour comprendre le succès de votre campagne.

En savoir plus sur la différence entre le retour sur investissement et le ROAS. 

ROAS vs CAC

Votre coût d’acquisition de client (CAC) indique ce qu’il vous en coûte pour acquérir un nouveau client payant. Vous le calculez en divisant vos dépenses totales de campagne par votre nombre de clients payants. 

Par exemple, si vous avez dépensé 2000 $ pour une campagne et gagné 200 clients, votre CAC serait de 10 $ par client.  

Le CAC et le ROAS mesurent tous deux les résultats de vos dépenses, mais le CAC est basé sur le nombre de clients que vous avez acquis, qu’ils s’avèrent être de valeur ou non. Avec le ROAS, vous pouvez voir combien de revenus ces clients vous ont apporté.   

L’étude du ROAS peut vous aider à vous assurer que vous acquérez des clients de valeur et à concentrer vos efforts aux bons endroits. 

ROAS vs eCPA

L’eCPA est le coût effectif par action et mesure les résultats réels d’une campagne du point de vue des coûts. Par exemple, si vous dépensez 1 000 $ pour une campagne publicitaire et recevez 200 actions (telles que des clics), votre eCPA est de 5 $. 

Bien que le ROAS et l’eCPA fournissent tous deux une évaluation monétaire du succès d’une campagne, le total des revenus générés n’est pas pris en compte dans les « actions », mais uniquement dans le nombre d’occurrences. 

Si l’action a été définie comme un achat, in-app et que vous savez que ces 200 actions ont généré 1 500 $ de revenus, vous pouvez trouver le ROAS en divisant 1 500 par 1 000 (150%). 

L’eCPA devrait se situer au même rang que le ROAS sur votre liste de mesures clés de campagne. Si votre ROAS est sous-performant et que votre eCPA est inférieur à l’objectif (ce qui signifie que vous payez plus que prévu pour une action), vous devez optimiser le plus rapidement possible pour remettre votre campagne sur les rails. 

ROAS vs CTR 

Le CTR signifie taux de clics et est calculé en divisant le nombre de clics par le nombre d’impressions servies. 

Étant donné qu’un CTR élevé est un bon indicateur de popularité de votre publicité auprès de l’audience, il est parfois utilisé comme mesure du succès d’un créative dans la conduite de l’action (un clic). 

Le CTR diffère du ROAS car il ne fournit que des indications sur le créative d’une campagne, et non sur les performances globales de la campagne.

Quels sont les avantages et les inconvénients de l’utilisation du ROAS?

Le ROAS est clairement une mesure utile, mais elle n’est pas parfaite. Creusons un peu plus profondément sur ces points positifs et négatifs. 

Avantages de l’utilisation du ROAS

Maintenir un ROAS élevé peut avoir de grands avantages pour vos campagnes marketing. Voici quelques-unes des façons dont il peut vous aider :

  • Choisissez le meilleur canal. La plupart des campagnes utilisent plusieurs canaux, tels que le mails, les réseaux sociaux et de l’affichage. En mesurant le ROAS sur tous vos canaux, vous pouvez voir ceux qui vous rapporte le plus d’argent, ce qui vous permet de vous concentrer sur ceux-ci et d’abandonner ceux qui épuisent votre budget pour peu de profits. 
  • Optimisez vos annonces. En comparant le ROAS entre différentes créatives, vous pouvez identifier les mots et les images qui résonnent le plus avec votre audience. Ensuite, donnez-leur plus de ce qu’ils aiment ou réclament. 
  • Facilitez la création de rapports de données. Beaucoup d’entreprises aiment le ROAS en raison de sa simplicité: les publicités sortent, l’argent rentre. C’est un instantané rapide qui est simple à expliquer, même pour les non-spécialistes en marketing. 
  • Éliminez l’arbitraire. Une fois que vous voyez ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas, vous pouvez utiliser ces informations pour façonner les futures stratégies et campagnes marketing. Planifier plus intelligemment vous permettra d’économiser de l’argent et d’obtenir des résultats plus rapidement. De plus, il est plus facile de justifier vos idées auprès de la direction lorsque vous disposez des données nécessaires pour les sauvegarder.

    Une mise en garde : ce n’est pas parce que quelque chose a fonctionné dans le passé que cela sera le cas par la suite ! Ainsi, bien que le ROAS doit toujours être testé et mesuré. 

Limites de l’utilisation du ROAS

Bien sûr, aucune mesure en soi n’est une solution miracle – même une mesure aussi puissante que le ROAS a ses inconvénients. En voici quelques-uns que vous devriez connaître.

  • Il est axé sur le court terme. Vous pouvez certes définir l’échelle de temps sur laquelle vous souhaitez mesurer le ROAS, mais elle a tendance à être relativement courte. Cela, parce que vous mesurez un comportement qui peut être directement lié à une annonce spécifique. Pour comprendre votre chiffre d’affaires à long terme, vous devez examiner la lifetime value (LTV). 
  • Vous ne voyez pas la situation dans son ensemble. Vos annonces n’existent pas dans le vide : il peut s’agir d’une publicité Facebook sur laquelle quelqu’un clique, mais c’est peut-être parce qu’il a déjà vu une affiche, lu une critique ou été encouragé par un ami à le faire. Ou peut-être qu’il connaît et aime déjà votre marque. La publicité n’est qu’une partie du mix marketing, ce qui rend difficile de prouver que les retours sont entièrement dus aux dépenses pour une seule annonce. 
  • Il n’affiche pas de volume. Vous pouvez obtenir un ROAS positif avec un nombre relativement faible de clients. Peut-être que vous venez de mener une campagne très bon marché, de sorte que vos revenus semblent élevés en comparaison. Mais à quel point pourrait-il être plus élevé si vous aviez réussi à attirer plus de clients?

Enfin, il convient d’examiner la manière dont les règles de confidentialité affectent le ROAS. La confidentialité accrue à l’ère du post-iOS14 a certainement rendu plus difficile la maîtrise de cette métrique : les données sont devenues plus fragmentées entre les réseaux, ce qui rend l’attribution plus délicate – et la précision n’est pas garantie non plus. 

Pour en savoir plus sur les problèmes et les solutions en matière de protection de la vie privée du ROAS, consultez notre blog sur les défis liés à sa mesure dans un mondeaxé sur la confidentialité.

Qu’est-ce qu’un bon ROAS?

C’est une question posée par les spécialistes marketing du monde entier. La réponse honnête est qu’il n’y a pas de réponse. 

La principale chose à retenir est qu’un bon ROAS est un ROAS positif. Et cela peut prendre du temps, parfois des mois, pour générer un profit d’un utilisateur ou d’une campagne. 

Mais ce qui est un bon ROAS pour une organisation peut être inquiétant pour une autre, en fonction de leurs cibles.  

Par exemple, les marges bénéficiaires dans une application de jeu très « casual » sont très faibles, car les revenus publicitaires ne sont souvent que de quelques centimes par vue. Cela signifie que le CPI (coût par installation) est moins cher et que l’échelle est la clé pour stimuler la rentabilité. 

Une application par abonnement comme Netflix ou Spotify, en revanche, peut générer des marges plus élevées grâce à des revenus d’abonnement récurrents, malgré des coûts d’acquisition relativement élevés. 

Un bon ROAS varie également en fonction de votre plateforme publicitaire. A titre d’exemple, les recherches de Databox montrent que les entreprises obtiennent généralement un retour de 6x à 10x (en d’autres termes, 600% à 1000%) sur les publicités Facebook. Pour Google Ads, en revanche, le ROAS moyen est d’environ 200%. 

Ces chiffres peuvent sembler impressionnants, mais rappelez-vous, ce ne sont que des moyennes. Ils ne sont pas ventilés par secteur, taille d’entreprise ou audiences, alors ne paniquez pas si vos propres résultats semblent différents! 

Qu’est-ce qu’un ROAS cible ? 

Le ROAS cible est une stratégie d’enchères dont le but est d’atteindre une valeur (utilisateur) spécifiée. Cela signifie que vous définissez une valeur de commande cible pour chaque dollar que vous dépensez pour votre campagne. 

Contrairement à d’autres campagnes d’enchères Adword, où Google contrôle l’enchère via des algorithmes et des processus automatisés, le ROAS cible nécessite sa propre stratégie d’enchères car il n’existe pas de version standard. 

Pour certaines verticales, le ROAS ciblé peut être un outil utile: en commerce par exemple, où l’objectif est de générer des achats in-app. Cependant, sachez que le ROAS ciblé nécessite un nombre minimum de conversions (Google recommande au moins 15 conversions au cours des 30 derniers jours dans la même campagne). Sans ceux-ci, il sera difficile pour Google d’atteindre la cible souhaitée. 

Neuf façons d’améliorer votre ROAS 

Comment améliorer le ROAS

L’objectif d’un spécialiste marketing est toujours d’augmenter les revenus et les conversions. Examinons donc quelques façons d’améliorer votre ROAS. 

1. Établir des points de référence

Pour savoir quel devrait être votre objectif, vous devez d’abord comprendre ce qui constitue un bon ROAS et le définir comme référence . Connaître la base de référence de chaque campagne et canal peut aider à mettre en évidence les domaines dans lesquels vous avez réussi et servir de modèle pour les campagnes futures. 

2. Testez et apprenez 

L’obtention d’un bon ROAS dépendra d’un certain nombre de facteurs, il est donc important de tester les campagnes, les créatives et les canaux qui fournissent les meilleurs résultats et les utilisateurs ayant le plus de valeur. Utilisez les A / B tests pour expérimenter différentes créatives, placements et stratégies de ciblage.  

3. Optimisez vos landing pages

Si vos annonces obtiennent beaucoup de clics, mais que votre ROAS reste obstinément bas, regardez attentivement où les annonces mènent les utilisateurs. Votre landing pages est-elle claire et attrayante ? Le design est-il aligné sur la pub ? La page se charge-t-elle rapidement ? Les CTA sont-ils clairs? 

Il y a beaucoup de réglages possibles pour que les utilisateurs se déplacent facilement tout au long du parcours d’achat.  

4. Réduisez le coût de votre annonce

Cela peut sembler évident, mais une façon d’obtenir plus de retour sur vos dépenses… est de réduire ces dépenses. Vous pouvez le faire en améliorant votre quality score. Un meilleur quality score se traduit par des annonces mieux classées et donc un coût par clic (CPC) inférieur. 

Les mots-clés ont également un impact sur les coûts. Plutôt que d’opter pour les termes les plus populaires, recherchez des long-tail keywords ou ceux qui ciblent davantage votre activité. 

Vous pouvez également introduire des mots-clés négatifs, qui aident à exclure les utilisateurs recherchant peut-être un article similaire à celui que vous annoncez, mais pas votre service exactement. 

Par exemple, votre application d’achat propose une offre hivernale pour les foulards. Vous pouvez exclure les utilisateurs qui recherchent des gants d’hiver, car ils risquent d’ignorer votre annonce et de diminuer votre CTR. Pire encore, ils pourraient cliquer sur votre annonce, se rendre compte qu’elle n’est pas pertinente pour eux et passer à autre chose, ce qui vous coûterait de l’argent pour le clic et ne vous donnerait rien en retour. 

5. Étudiez votre audience

Effectuez de robustes recherches clients pour comprendre où se trouvent vos profils idéaux, à quel moment ils sont en ligne et ce qui les intéresse. Si vous savez que ce sont des parents qui suivent du contenu alimentaire sur Facebook, par exemple, il y a de fortes chances qu’ils soient intéressés par votre application de recettes familiale. 

En alignant soigneusement votre message à votre audience, vous générerez des conversions plus élevées et cesserez de gaspiller de l’argent sur les mauvais canaux.

Merci pour votre téléchargement !

6. Réengager les utilisateurs à forte valeur ajoutée pour augmenter les revenus

Réengagez vos utilisateurs pour améliorer votre ROAS

Le réengagement est beaucoup moins cher que l’UA, et peut même être gratuit si vous utilisez vos propres canaux. Si vous avez une cohorte d’utilisateurs ayant généré un ROAS élevé, il est important de les réengager et de les encourager à acheter à nouveau. 

Une façon de procéder est de proposer une offre d’une durée limitée. De cette façon, les clients ont l’impression d’obtenir une bonne affaire tout en étant des utilisateurs appréciés et appréciés. 

7. Enchérissez plus intelligemment

Expérimentez différentes stratégies d’enchère pour trouver l’approche la plus rentable. Vous pouvez économiser de l’argent en ajustant votre enchère maximale, en utilisant des enchères automatisées ou en définissant différentes enchères pour ordinateur et mobile. 

8. Utiliser l’analyse prédictive

Il s’agit de savoir comment vos utilisateurs ayant le plus de valeur, monétisent tout au long de leurs activités à l’aide de votre app peut changer la donne concernant l’optimisation du ROAS. Si vous pouvez corréler les premières actions au sein du funnel avec une monétisation future, vous pouvez améliorer considérablement votre ROAS. 

Par exemple, vous constatez que les utilisateurs qui terminent le niveau 10 de votre jeu dans les premières 24 heures sont très susceptibles d’effectuer des achats in-app : vous pouvez alors utiliser ces données pour optimiser la campagne après 24 heures, au lieu d’attendre davantage de signaux plus tard dans le funnel. De cette façon, vous pouvez réduire les pertes et atteindre vos objectifs de revenus. 

9. Vue d’ensemble à prendre en compte

Si les clients abandonnent en chemin, renseignez-vous sur les raisons. Votre prix est-il trop élevé? Vous demandez trop d’informations? Le processus est-il déroutant? Regardez au-delà de la publicité pour voir comment vous pouvez optimiser l’ensemble du parcours client.

Points clés à retenir

  • Le ROAS est l’une des mesures les plus importantes pour les spécialistes marketing. Les utilisateurs de « grande valeur » ne signifient pas grand-chose si vous avez payé plus pour les acquérir que le montant qu’ils ont dépensé dans l’application. 
  • Utilisez le ROAS avec d’autres mesures, y compris le ROI, le CAC, le CTR et l’eCPA. 
  • Un bon ROAS dépend de votre entreprise et de la plateforme que vous utilisez, mais en tout les cas il devrait être positif. Rappelez-vous que l’obtention d’un ROAS positif dans une campagne peut prendre des mois.
  • Le ROAS à seuil de rentabilité est une référence utile pour vous assurer de couvrir les coûts de votre activité publicitaire. 
  • Les premières indications de revenus vous permettront de mesurer votre ROAS partiel pour vous aider à comprendre si vous allez dans la bonne direction et comment vous pourriez optimiser votre campagne.
  • Pour améliorer votre ROAS, vous avez besoin d’un contenu attrayant et d’un parcours client fluide. Envisagez également des moyens de réduire les coûts publicitaires, par exemple en affinant vos stratégies d’enchères et de mots clés.

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Monthly active users (MAU) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/monthly-active-users/ Wed, 14 Jun 2023 06:34:06 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/utilisateurs-actifs-mensuels-mau/ Qu’est-ce que le MAU? Le MAU est une mesure couramment utilisée pour identifier le nombre d’utilisateurs uniques qui interagissent avec une application ou un site Web au cours d’une période prédéfinie de 30 jours. Les marques surveillent généralement les MAU en utilisant un identifiant unique tel qu’un user ID , un nom d’utilisateur ou une […]

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MAU : utilisateurs d’activateurs mensuels

Nombre d’utilisateurs uniques qui interagissent avec votre application sur une fenêtre de 30 jours. Contrairement aux utilisateurs actifs quotidiens (DAU), le MAU est généralement utilisé par les applications de voyage ou financières, lorsque les utilisateurs sont censés interagir plusieurs fois par mois ou moins (par exemple, les applications bancaires).

Qu’est-ce que le MAU?

Le MAU est une mesure couramment utilisée pour identifier le nombre d’utilisateurs uniques qui interagissent avec une application ou un site Web au cours d’une période prédéfinie de 30 jours. Les marques surveillent généralement les MAU en utilisant un identifiant unique tel qu’un user ID , un nom d’utilisateur ou une adresse mail. 

La façon dont une marque définit un utilisateur actif peut varier en fonction de ses verticales ou besoins commerciaux. Pour vous donner un aperçu plus significatif de la façon dont vos utilisateurs interagissent avec votre application, le MAU doit être analysé par rapport à au DAU. 

Les trois composantes qui déterminent le MAU sont les suivantes :

  • Utilisateurs lors du calcul de MAU, un utilisateur doit effectuer une action in-app pendant une période de 30 jours, qu’il s’agisse de se connecter, d’effectuer une action spécifique ou d’effectuer un certain nombre d’autres types d’actions. Un utilisateur unique est compté une fois, quel que soit le nombre de fois qu’il s’est connecté.
  • Action – quelles actions qualifient un utilisateur en tant que MAU ? C’est à votre entreprise de le définir. Dans la plupart des cas, un MAO est repertorié comme tel car il a ouvert l’application ou s’est connecté, ce qui facilite la mesure et la comparaison.
  • Timeline- nous examinons ici le dernier mois ou les 30 jours précédant un certain événement.

Comment calculer le MAU

Comment calculer les utilisateurs actifs mensuels (MAU)

Le calcul des MAU semble simple mais il peut devenir plus compliqué selon la façon dont votre activité est définie. 

Pour commencer, considérez les étapes suivantes :

  1. Définissez vos critères pour un utilisateur actif – Bien qu’une simple connexion soit facile à mesurer, elle ne vous donne pas beaucoup d’informations sur le fait que cet utilisateur ait réellement utilisé votre application ou non.  

En tant que tel, une définition plus utile serait un utilisateur ayant effectué une action spécifique dans l’application. Moins votre définition d’un utilisateur actif est précise, plus les données seront floues lorsque le MAO augmentera ou diminuera.

  1. Définissez la fréquence d’engagement que vous cherchez à mesurer (le MAU dans notre cas).
  2. Collectez les données à l’aide de l’outil d’analyse de votre choix et additionnez le nombre d’utilisateurs uniques qui répondent à vos critères d’utilisateur actif pour le jour sélectionné, puis le mois. Il est important de se rappeler que notre objectif ici est de mesurer seulement les utilisateurs uniques. 

Pourquoi devriez-vous surveiller le MAU?

Pourquoi devriez-vous surveiller les utilisateurs actifs mensuels (MAU)

Du point de vue de la croissance, vous devez être en mesure d’évaluer la façon dont les utilisateurs interagissent avec votre application. Un MAU élevé indique généralement un bon taux d’engagement de l’application et une rétention positive sur une période de temps.

La mesure du MAU permet de mieux évaluer le facteur d’efficacité de vos stratégies marketing et de l’expérience client, ce qui en fait l’un des indicateurs de la « santé » générale de votre application.

Lorsque vous associez le MAU à d’autres mesures liées à l’engagement, cela peut être un moyen d’évaluer :

  • L’engagement
  • Le taux de réussite de campagnes marketing spécifiques (acquisition d’utilisateurs)
  • Letaux de rétention
  • Le taux de désabonnement
  • Le taux de croissance – actuel et potentiel
  • Le taux de croissance des revenus – actuel et potentiel

Le MAU peut également servir de base à d’autres mesures, telles que la lifetime value (LTV) et le coût par action (CPA). Surtout, le MAU peut vous donner une indication de la valeur perçue de votre application. 

Et nous utilisons le mot « peut » parce qu’il y a beaucoup d’autres facteurs importants qui sont liés à la valeur de votre application – tels que les installations, le revenu moyen par utilisateur (ARPU), la rétention, le désabonnement et la fréquence d’achat – pour n’en nommer que quelques-uns.

Taux DAU / MAU

Ce ratio permet de mesurer le volume relatif d’utilisateurs actifs mensuels qui interagissent avec votre application sur une période de 24 heures. 

En utilisant cette formule, vous pouvez prévoir la traction et les revenus potentiels au fil du temps. Plus important encore, ce ratio aide à déterminer la valeur de votre produit pour vos utilisateurs en mesurant la fréquence à laquelle ils reviennent dans votre application. 

Voici comment il est calculé :

Calcul du ration DAU MAU

Et voici un exemple pratique :

Vous mesurez 2 000 DAU et 8 000 MAU au cours du mois d’août. Votre taux de stickiness pour ce mois serait de 25%. 

Un bon score, soit dit en passant… Une moyenne de 20% dans la plupart des secteurs est considérée comme bonne, tandis que 25% et au-delà est considérée comme exceptionnel.

Les limites du MAU 

Le MAU est relativement facile à calculer, mais comporte quelques limitations. Notamment :

1. Manque de standards de l’industrie 

C’est l’une des principales limites lorsque l’on s’appuie sur le MAU pour comparer certaines performances. Étant donné que chaque entreprise s’appuie sur sa propre terminologie et même ses propres méthodes pour calculer le MAO, il peut être difficile – certains diraient même impossible – d’utiliser l’UAM pour une comparaison significative.

Le fait qu’il n’y ait pas de normes uniformes en fait une donnée quelque peu insaisissable. 

2. Le MAU est une mesure peu fiable si vous êtes une très jeune entreprise

Mettre trop l’accent sur le MAU dès le lancement d’une nouvelle application est problématique. Compte tenu de la définition même du MAU, toutes les activités promotionnelles associées au lancement d’une application – comme les publicités payantes, les campagnes sur les médias sociaux, etc. – peuvent toutes gonfler considérablement les chiffres du MAU, sans refléter une véritable tendance indiquant une croissance régulière. Il serait plutôt préférable d’évaluer le MAU une fois que le trafic se sera stabilisé sur quelques mois.

3. La profondeur d’utilisation n’est pas mesurée

La connexion à une application n’implique pas nécessairement un engagement. Du point de vue de la monétisation vous ne pouvez monétiser que les utilisateurs qui interagissent avec votre application, ce qui fait du MAU une mesure un peu superficielle si elle est appréhendée comme un chiffre autonome.

4. La qualité des utilisateurs n’est pas mesurée

Tous les utilisateurs n’ont pas été créés égaux. Différentes sources médias ont tendance à produire différents utilisateurs avec des comportements d’engagement différents. Alors que certaines campagnes régionales peuvent générer beaucoup d’installations rapides, les utilisateurs associés à cette source peuvent présenter un faible engagement ou conduire à un pic soudain de désabonnement. 

Ainsi, bien que les MAU pour une campagne spécifique puissent sembler énormes, la valeur des utilisateurs pourrait être inférieure à la moyenne, avec un potentiel dommageable en termes de réputation de la marque, de score de l’App Store, d’avis sur les réseaux sociaux et de satisfaction globale des clients.

Comment augmenter le MAU?

Comment augmenter le nombre d’utilisateurs actifs mensuels (MAU) ?

Une stratégie gagnante d’engagement doit mobiliser plusieurs canaux tels que les mails, les push , les notifications in-app et les campagnes de réengagement. . 

Comment exploitez-vous tous ces canaux pour augmenter les taux de MAU ? Voici quelques conseils : 

1. Les push

Ils sont l’un des moyens les plus efficaces pour engager les utilisateurs de votre application. Mais, mal utilisés, ils peuvent aussi provoquer rapidement des désinstallations. 

Quelle est donc la fréquence idéale pour envoyer des push à vos utilisateurs ?

Il existe de nombreuses sources pour vous fournir les meilleures pratiques et les points de repère, mais le plus important est de vous demander : Est-ce que j’offre une valeur ajoutée réelle à mon audience ? 

Les push ne doivent jamais porter sur la quantité, mais sur l’amélioration de l’expérience de vos utilisateurs grâce à une communication personnalisée et pertinente. 

Pour aider vos chiffres MAU à augmenter, gardez un œil sur vos statistiques de push qui vous aideront à déterminer ce qui fonctionne – et surtout ce qui ne fonctionne pas.

2. Messages in-app

Plus l’expérience offerte est alignée sur les besoins et les préférences de vos utilisateurs, plus les utilisateurs sont susceptibles de continuer à utiliser votre application. 

Plus précisément, de récentes recherches montrent que les marques utilisant des messages personnalisés dans l’application observent leurs taux de rétention passer de 61 % à 74 % dans les 28 jours suivant la réception du message. Dans le même temps, les marques qui lancent des campagnes plus classiques voient leurs taux de rétention plafonner à 49 % en 28 jours. 

De manière générale, les messages in-app ne sont pas destinés à intégrer des appels à l’action (CTA) immédiats, mais sont néanmoins des notifications importantes à recevoir. Ils peuvent inclure des avertissements concernant des problèmes d’application, des échecs de paiement ou des mises à niveau de version. 

Pour assurer une pertinence maximale, il est préférable de segmenter votre audience en fonction de l’emplacement, des préférences, de l’utilisation ou de l’historique, en utilisant des messages personnalisés qui incluent des mises à jour en temps réel et des liens vers du contenu personnalisé. 

3. Emails/SMS

La fidélisation consiste à servir les utilisateurs au mieux et d’optimiser votre application pour qu’ils la gardent à l’esprit, afin qu’ils y reviennent en permanence. 

Après avoir téléchargé votre application, vos utilisateurs peuvent prendre un certain temps pour exploiter tout son potentiel. En gardant à l’esprit que l’onboarding est un processus continu, envoyer à vos utilisateurs nouvellement embarqués un mail de temps à autre est un bon moyen de maintenir des taux de DAU élevés. 

A titre d’exemple, le mail peut être utilisé pour cibler des utilisateurs autrefois actifs qui se sont éloignés ensuite. C’est la façon la moins intrusive de dire « Vous nous avez manqué. Voici quelques mises à jour que vous pourriez trouver utiles.

Dans le cas des applications de contenu, un utilisateur qui a déjà été actif pendant 7 jours d’affilée, mais qui n’a pas ouvert l’application en 3 jours, pourrait apprécier un mail avec un lien in-app vers un article tendance. 

Une segmentation appropriée de l’audience pourrait faire la différence entre un utilisateur inactif et un utilisateur engagé.

4. Le deeplinking

Vous avez donc conçu le mail parfait avec une offre irrésistible par coupon spécial. C’est personnalisé, contextualisé, extrêmement pertinent. Et prometteur… Mais après le clic, vos utilisateurs sont dirigés vers l’écran d’accueil de votre application. Moins prometteur.

Le deeplinking guidé par l’attribution mobile est au cœur d’une véritable stratégie cross-canal. En reliant des canaux cloisonnés en une plateforme d’expérience utilisateur cohérente, il garantit une expérience utilisateur unifiée et sans tracas, et permet à vos utilisateurs de naviguer sans effort. 

Non seulement le deeplinking vous aide à éliminer autant d’obstacles que possible tout au long du parcours utilisateur, mais il permet également de construire une relation durable avec vos utilisateurs et de renforcer votre avantage concurrentiel. 

Il s’est avéré à maintes reprises être une stratégie facile à exécuter qui vaut la peine d’être mise en œuvre.

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Quelle est la performance de votre marketing ?

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Points clés à retenir

  • Dans le monde des applications, un utilisateur actif est le plus souvent considéré comme un utilisateur qui se connecte à son compte. Cependant, les différents types d’engagement peuvent différer selon les secteurs d’activité et les objectifs commerciaux.
  • Déterminer le nombre de vos utilisateurs actifs au fil du temps aide à évaluer l’efficacité de vos campagnes et l’expérience client offerte par votre application. 
  • LE MAU ne dévoile que le nombre d’utilisateurs, pas leur « qualité ». Dans de nombreux cas, seule une petite partie de vos utilisateurs MAU va générer le plus de valeur, tandis que certains, sinon la plupart, utiliseront fréquemment votre application. 
  • Malgré le fait que les variations dans la définition même d’un utilisateur actif peuvent rendre difficile la comparaison du succès de la marque, lorsqu’il est combiné avec d’autres mesures, le MAU offre malgré tout des informations sur l’engagement, l’UA, le taux de rétention, le taux de désabonnement et le taux de croissance d’une entreprise.

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Demand-side platform (DSP) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/demand-side-platform/ Mon, 12 Jun 2023 08:24:08 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/demand-side-platform-dsp/ Qu’est-ce qu’une Demand-side platform (DSP) ? Les annonceurs utilisent les DSP pour acheter et gérer les inventaires de publicités, telles que les publicités vidéo ou Search ads, en fournissant une interface contenant les publicités disponibles auprès des éditeurs. Les DSP vous permettent de gérer la publicité sur plusieurs réseaux d’enchères en temps réel, les real-time […]

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Une plateforme technologique qui permet aux annonceurs de gérer des data exchange accounts et de multiples comptes d’ad exchange par le biais d’une interface unique. Les DSP sont un outil efficace d’automatisation du marketing car ils permettent aux annonceurs d’acheter des impressions de haute qualité à grande échelle avec un minimum de friction.

Qu’est-ce qu’une Demand-side platform (DSP) ?

Qu'est-ce qu'une Demand-side platform (DSP) ?

Les annonceurs utilisent les DSP pour acheter et gérer les inventaires de publicités, telles que les publicités vidéo ou Search ads, en fournissant une interface contenant les publicités disponibles auprès des éditeurs.

Les DSP vous permettent de gérer la publicité sur plusieurs réseaux d’enchères en temps réel, les real-time bidding networks, au lieu d’un seul. Les DSP et les logiciels utilisés par les éditeurs pour répertorier leurs inventaires publicitaires disponibles permettent le déploiement de la publicité programmatique.

Comment fonctionnent les DSP ?

Les DSP reposent sur l’IA et lemachine learning et guident les annonceurs vers le meilleur emplacement et le meilleur prix pour leurs publicités. En même temps, ces annonces ciblent les personnes les plus susceptibles de cliquer et de convertir.

Avant les DSP et l’apparition de l’écosystème de la publicité programmatique, les annonceurs devaient négocier eux-même avec les éditeurs et les plateformes, ce qui signifiait que leur audience mais aussi leur capacité d’adaptation étaient limitées par le facteur humain. 

Aujourd’hui, grâce à la publicité programmatique et aux DSP, le placement des annonces se fait automatiquement.

Par essence, les DSP facilitent la relation entre les annonceurs et les éditeurs. La fonctionnalité des DSP permet aux annonceurs d’acheter des impressions sur une variété de sites d’éditeurs différents, tous ciblés pour des utilisateurs spécifiques et basés sur les comportements en ligne clés de ces utilisateurs.

Par exemple…comment ces publicités de Facebook savent-elles que j’ai besoin d’un nouveau lave-vaisselle ? 

En collectant les données des utilisateurs qui y ont consentis, Facebook est en mesure d’utiliser une variété d’options de ciblage lors de la diffusion de publicités. Mais les publicités Facebook ne peuvent être diffusées que sur leur propre site, là où les DSP fonctionnent à une échelle beaucoup plus vaste, en mettant vos créative à la disposition de plusieurs sites d’éditeurs au lieu d’un seul.

DSP et SSP

DSP : l'offre et la demande

Les SSP (Supply side platforms) sont l’inverse des DSP. Les SSP sont utilisés par les éditeurs qui ont des espaces publicitaires à vendre (l’offre). Comme nous le savons, les DSP sont utilisées par les annonceurs qui souhaitent acheter un inventaire publicitaire (la demande).

Les DSP et les SSP se connectent via les ad exchanges, où les DSP font des offres sur l’inventaire publicitaire dans le cadre d’une transaction automatisée de type vente aux enchères. Les DSP permettent aux annonceurs d’acheter sur plusieurs marchés publicitaires à la fois, et les SSP permettent aux éditeurs de vendre leur inventaire publicitaire sur plusieurs marchés publicitaires.

Types de plateformes de demand-side platforms

Il existe trois grands types de DSP : les DSP mobiles, les DSP en white-label, et les DSP en self-serve Chacune d’entre elles répond à un besoin publicitaire différent, qu’il s’agisse d’acheter des impressions mobiles ou d’exclure les tiers.

DSP pour mobiles

Ces programmes font partie d’un écosystème DSP déjà existant – il ne s’agit pas d’un programme autonome. Par conséquent, lorsqu’il est question de DSP mobiles, il s’agit de la fonction de votre DSP habituel qui gère votre inventaire mobile.

Les DSP mobiles sont connectés à des ad exchanges mobiles : les éditeurs et les développeurs d’applications proposent leurs impressions mobiles et tablettes disponibles, c’est-à-dire l’accès à leur inventaire (celui des éditeurs). 

Les DSP analysent et décident automatiquement quelles impressions ont de la valeur pour l’annonceur. Une fois l’offre acceptée, la créa publicitaire est diffusée lorsque l’application est initialisée, téléchargée ou ouverte.

Les White-label DSPs

Ils peuvent être personnalisés pour répondre à vos besoins spécifiques.

Une White-label DSP est une plateforme que vous achetez plutôt que de vous y inscrire – et c’est un espace vide qui est à la fois prêt à l’emploi et personnalisable. Il vous permet de concevoir votre propre algorithme programmatique pour les placements publicitaires – au lieu d’utiliser un algorithme préexistant fourni avec un autre DSP. 

En outre, une white-label DSP peut être intégrée à autant d’ad exchanges et de SSP que vous le jugez nécessaire, ce qui permet de diversifier et d’élargir votre segment d’audience et votre trafic.

Les Self-serve DSP

Une Self-serve DSP, comme une DSP white-label, donne aux annonceurs un contrôle total sur le processus d’achat de publicité, de la sélection de l’inventaire au ciblage et à la gestion de la campagne.

Cependant, ces dernières sont le moyen le plus simple de commencer à acheter des impressions publicitaires de manière programmatique, et conviennent mieux aux petites agences ou aux annonceurs qui débutent. 

Une fois que vous avez acheté votre self-serve DSP, ajusté les paramètres et téléchargé votre créative, vous êtes prêt à commencer.

Une self-serve DSP est une plateforme à laquelle vous vous inscrivez plutôt que de l’acheter – et qui n’implique aucune tierce partie pour s’occuper de vos campagnes publicitaires. Au lieu de cela, vous optimisez les campagnes et échangez les annonces par vous-même.

4 avantages d’une plateforme de gestion de la demande

Bien qu’il existe de nombreux avantages qui varient en fonction du type de DSP que vous utilisez, nous avons isolé pour vous quatre avantages des DSP :

Un workflow plus efficace pour les acheteurs de publicité

Les DSP et l’écosystème programmatique dans son ensemble simplifient l’achat de publicité. Au lieu d’avoir à gérer 15 vendeurs différents et les contrats, documents Excel, PDF et négociations de prix qui les accompagnent, les acheteurs travaillent avec un seul programme, ce qui simplifie les choses. 

Il suffit d’appuyer sur quelques boutons pour que les médias s’allument. Les entreprises peuvent simplement se brancher sur l’infrastructure existante sans avoir à la recréer.

Réduction des coûts

Les DSP accélèrent l’achat de publicité en supprimant les éléments traditionnels (et chronophages) de l’achat de publicité tels que les négociations, ce qui permet aux annonceurs de gagner du temps et de l’argent.

Accès élargi

Les DSP vous permettent d’accéder à plusieurs marchés publicitaires en même temps et par le biais d’une interface unique.

Ciblage sophistiqué

Traditionnellement, les réseaux publicitaires limitent les annonceurs par le biais de leurs fonctions de ciblage de l’audience. Cela réduit en fin de compte les segments d’audience potentiels et la portée des annonceurs.

En revanche, les DSP donnent aux annonceurs la liberté de créer leurs propres critères de ciblage pour leurs publicités.

L’écosystème de la publicité programmatique

La DSP et l'écosystème de la publicité programmatique

La publicité programmatique est l’automatisation de l’achat et de la vente d’espaces publicitaires digitaux. 

Cet écosystème relie les annonceurs à l’ad exchange et aux impressions de valeur qu’ils recherchent, en rassemblant et en intégrant les enchères en temps réel, les DSP, les SSP et les DMP (plateformes de gestion des données).

Enchères en temps réel (RTB)

Le processus d’utilisation des DSP : pour enchérir automatiquement sur les impressions publicitaires. Les enchères se déroulent dans la fraction de seconde qui s’écoule entre le moment où un prospect arrive sur une page et celui où cette page est entièrement chargée. 

Pendant les millisecondes qui séparent l’atterrissage du chargement, le DSP gère les enchères entre les différents annonceurs, en fonction de leurs budgets et de leurs critères démographiques. L’annonce du gagnant est alors diffusée auprès du prospect.

le direct programmatique

Le modèle de non-enchère dans la publicité programmatique. Contrairement au RTB, le direct programmatique a lieu lorsque les éditeurs vendent leur espace publicitaire directement aux annonceurs à un prix négocié et pour une durée déterminée.

L’avantage de la publicité directe programmatique est que les annonceurs sont assurés d’obtenir des impressions publicitaires sur des pages web de qualité. Dans le modèle programmatique direct, l’éditeur et l’annonceur négocient un CPM équitable pour les deux parties.

Un excellent exemple de cas où le programmatique direct est préférable à l’enchère en temps réel serait celui d’un blog populaire sur l’alimentation saine qui vendrait de l’espace publicitaire à un magasin d’alimentation biologique. 

L’éditeur dispose d’un espace publicitaire en rapport avec le public ciblé par l’annonceur, et l’annonceur se voit garantir un certain nombre d’impressions – une situation gagnante pour les deux parties.

DSP et réseaux publicitaires

Les réseaux publicitaires mettent en relation les annonceurs et les éditeurs en regroupant l’offre d’espaces publicitaires et en la faisant correspondre aux besoins des annonceurs. 

Les réseaux publicitaires ne doivent pas être confondus avec les échanges publicitaires, qui sont le marché digital pour l’achat et la vente de publicité numérique.

À l’heure actuelle, la publicité programmatique et les DSP coexistent avec les réseaux publicitaires, mais à mesure que la publicité programmatique devient plus sophistiquée, les réseaux publicitaires pourraient devenir obsolètes.

La raison en est que les réseaux publicitaires nécessitent beaucoup de travail humain et ne sont pas automatisés (contrairement aux DSP). Dans l’espace des réseaux publicitaires, les acheteurs de médias ont leur gestionnaire personnel, qui est chargé d’accepter les créatives et les détails de la campagne, puis de la mettre en place.

DSP et DMP (plateformes de gestion de données)

Les DMP sont des plateformes qui stockent et analysent des données provenant d’un large éventail de sources d’audience – par exemple des identifiants tels que les cookies des navigateurs, et des identifiants mobiles tels que Apple IDFA

Les DMP transmettent ces informations au DSP d’un spécialiste marketing, lui indiquant à qui diffuser tel ou tel contenu publicitaire.

Comment choisir la bonne demand-side platform

Comment choisir la bonne DSP

Comprendre le fonctionnement des DSP n’est que le début – reste à savoir comment savoir quelle plateforme de gestion de la demande vous convient le mieux ?

Voici trois questions à se poser lors de la recherche du bon DSP :

1. Couvre-t-elle l’essentiel ?

Au niveau le plus élémentaire, votre DSP doit avoir une interface conviviale, des options de ciblage d’audience illimitées et la capacité de s’intégrer facilement aux DMP.

2. Est-elle optimisée en fonction d’indicateurs de performance clés spécifiques ?

La possibilité d’exploiter des fonctionnalités telles que le reporting sur des événements uniques ou l’optimisation de plusieurs objectifs en même temps est un bon moyen d’améliorer les performances des indicateurs de performance clés (KPI) qui sont significatifs pour vous et votre entreprise.

Par exemple, une entreprise qui cherche à accroître la notoriété de sa marque devrait rechercher un DSP doté d’un tableau de bord KPI robuste – qui mesure des éléments tels que les impressions, le temps passé sur le site et les utilisateurs uniques.

3. Offre-t-il un accès à l’approvisionnement dont vous avez besoin ?

Le facteur décisif le plus important pour un DSP est sans doute l’inventaire qu’il propose. Si vous n’avez pas accès à l’inventaire dont vous avez besoin, vous n’avez pas non plus accès au public qu’il vous faut. 

Il en va de même pour les types d’inventaires et de canaux médias proposés par une DSP.

L’inventaire publicitaire concerne à la fois la quantité et le type d’annonces disponibles. L’idée est de trouver un DSP qui vous donne accès à une offre de qualité, même si vous êtes sur un marché de niche. 

Pour un annonceur digital, une offre de haute qualité signifie que votre annonce est diffusée à côté d’un contenu éditorial de haute qualité. Par exemple, aligner votre annonce sur une marque établie ou un site de niche populaire garantit une audience davantage susceptible de cliquer sur votre annonce et de la convertir que de l’ignorer complètement.

Comprendre les types de DSP disponibles (défilement vers le haut) vous aidera à savoir quel DSP peut vous fournir l’inventaire le plus utile pour vos besoins. Une DSP idéale peut le faire en fournissant un accès direct à l’éditeur (programmatique direct) ou via des stratégies SPO (supply path optimization).

9 DSP de premier plan sur le marché actuel

La publicité programmatique connaît une croissance importante, elle est considérée comme l’avenir de la publicité en ligne. Les annonceurs doivent donc connaître les différentes plateformes programmatiques à leur disposition.

Voici donc quelques-unes des meilleures DSP mobiles, en white-label et en self-serve actuellement disponibles sur le marché :

Principales DSP pour les campagnes de performance des applications mobiles

Pour les DSP mobiles, il est impératif de disposer d’une analyse transparente de votre stratégie et de votre placement média. Les trois meilleures plateformes actuellement disponibles sur le marché sont les suivantes :

  • Smadex
  • 3.14
  • Bidease

Les principales DSP white-label

Une bonne option pour les marketeurs souhaitant mieux contrôler leur trafic publicitaire, avoir la possibilité de créer plusieurs comptes publicitaires, profiter de solutions personnalisables supplémentaires, et qui veulent également dépenser moins d’argent en général.

Cela signifie que vous n’avez pas à vous fier à des tiers pour contrôler votre publicité et cela vous donne la liberté d’acheter votre trafic dans le monde entier, de filtrer et de personnaliser vos segments d’audience sans limites.

En voici trois parmi les meilleurs :

  • SmartyAds
  • AdKernel
  • Beeswax

Principaux DSP en self-serve

Si vous débutez dans le monde de la publicité et de l’achat média et/ou si vous n’avez pas besoin d’un DSP pour plusieurs comptes, une self-serve DSP vous permettra d’apprendre au fur et à mesure de votre développement.

Voici trois des meilleures self-serve DSP :

  • Edge226
  • Platform.io
  • Epom Market

Points clés à retenir

Les DSP et l’écosystème de la publicité programmatique se caractérise par un jargon spécialisé qui évolue aussi vite que le secteur lui-même. Mais vous ne devez pas vous sentir dépassé. N’oubliez pas :

  • Les DSP permettent aux annonceurs d’acheter du trafic de haute qualité à grande échelle avec un minimum de friction.
  • Il existe trois grands types de DSP : les DSP mobiles, les white-label, et les self-serve.
  • Les DSP rendent l’achat et la vente de publicité plus efficaces, réduisent les coûts publicitaires, élargissent l’accès aux annonceurs et constituent un moyen sophistiqué de cibler les consommateurs.
  • La publicité programmatique et les DSP finiront par rendre les réseaux publicitaires obsolètes.
  • Si vous savez quoi demander, vous savez quel DSP est parfait pour vous !

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Supply-side platform (SSP) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/supply-side-platform/ Wed, 07 Jun 2023 09:54:58 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/supply-side-platform-ssp/ Qu’est-ce qu’une Supply-side platform (SSP) ? Les SSP aident les éditeurs à automatiser la vente, la gestion et l’optimisation de leur inventaire publicitaire sur le web et sur les appareils mobiles. Avant les SSP, les éditeurs devaient gérer et vendre manuellement leurs espaces publicitaires, ce qui les empêchait de faire évoluer leurs processus de vente […]

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Plateforme technologique ou un logiciel qui gère l’inventaire publicitaires d’un éditeur à travers de multiples ad exchanges. Les SSP sont des outils de marketing efficaces car ils automatisent et optimisent la vente de l’espace média d’un éditeur, contribuant ainsi à l’alimenter en publicités et à générer des revenus.

Qu’est-ce qu’une Supply-side platform (SSP) ?

Les SSP aident les éditeurs à automatiser la vente, la gestion et l’optimisation de leur inventaire publicitaire sur le web et sur les appareils mobiles.

Avant les SSP, les éditeurs devaient gérer et vendre manuellement leurs espaces publicitaires, ce qui les empêchait de faire évoluer leurs processus de vente et de garantir que les espaces publicitaires étaient remplis. 

Dans un premier temps, les éditeurs ont utilisé ces plateformes pour remplir les inventaires restants à des prix plus bas. Cependant, aujourd’hui, les SSP sont responsables de la vente programmatique de tout l’inventaire publicitaire.

Fonctionnement des SSP

Fonctionnement des SSP

Avez-vous déjà réfléchi aux publicités que Google vous propose ? 

Si Google semble vous connaître un peu trop bien, c’est parce qu’il partage votre comportement d’utilisateur avec l’annonceur (DSP) et l’éditeur (SSP), afin qu’ils puissent vous proposer les bonnes annonces, en temps réel. 

Les SSP facilitent la relation entre l’éditeur et l’annonceur. Ils peuvent envoyer les impressions publicitaires disponibles à autant d’acheteurs potentiels que possible dans le but de vendre l’inventaire de l’éditeur au meilleur prix. 

La fonctionnalité du SSP offre aux annonceurs la possibilité d’acheter ces impressions publicitaires sur une variété de sites d’éditeurs différents, qui sont tous ciblés sur des utilisateurs spécifiques et basés sur les identifiants et comportements en ligne clés des utilisateurs.

Sur la base du contenu et des visiteurs d’un éditeur, les annonceurs font des offres pour placer leurs publicités sur ces sites. Cela se produit parce que le SSP de l’éditeur propose ses impressions disponibles. Le DSP de l’annonceur les analysera en temps réel, ce qui permettra de diffuser des annonces parfaitement placées auprès du bon utilisateur.

SSP et DSP

SSP et DSP

Les DSP sont l’opposé des SSP. Les DSP sont utilisés par les annonceurs qui souhaitent acheter des espaces publicitaires (la demande), et les SSP sont utilisés par les éditeurs qui ont des espaces publicitaires à vendre (l’offre).


Les SSP et les DSP se connectent via les ad exchanges, où les DSP font des offres sur l’inventaire publicitaire dans le cadre d’une transaction automatisée de type vente aux enchères. Les SSP permettent aux éditeurs de vendre leur inventaire publicitaire sur différents ad exchanges, tandis que les DSP permettent aux annonceurs d’acheter sur plusieurs ad exchanges à la fois.

Le mobile SSPs

Ils font partie d’un écosystème SSP déjà existant et ne constituent généralement pas un programme autonome. Par conséquent, lorsqu’il est question de SSP mobiles, il s’agit principalement de la fonction de votre SSP typique qui gère votre inventaire mobile.

Les SSP mobiles sont connectés aux ad exchanges mobiles, où les éditeurs et les développeurs d’applications proposent aux annonceurs leurs impressions mobiles disponibles.

3 avantages des SSP

Les avantages sont nombreux, le plus évident étant l’automatisation de ce qui était autrefois un processus manuel et fastidieux. Bien que les SSP varient en fonction de la plateforme que vous choisissez, voici trois avantages plus universels des SSP :

Augmenter le taux de remplissage des annonces

Les SSP aident à augmenter les taux de remplissage des annonces

Tout d’abord, l’utilisation d’une supply-side platform devrait automatiquement augmenter le taux de remplissage de vos annonces. 

Le nombre d’espaces publicitaires indique le taux de remplissage d’un éditeur. Et comme les taux de remplissage sont directement liés aux revenus, il est important de se rappeler que le processus de génération de revenus commence lorsqu’un utilisateur reçoit une publicité et clique sur son CTA. Il est donc très important d’augmenter votre taux de remplissage.

Les Supply-side platforms garantissent que vos espaces publicitaires disponibles sont vendus au plus offrant. En fin de compte, cela permettra d’augmenter les revenus par espace. Comme les SSP encouragent la participation d’un plus grand nombre d’annonceurs, chaque cas de remplissage d’espace est potentiellement parfaitement optimisé.

Limiter la « fatigue » de l’impression

Le marché digital est encombré et, par conséquent, la probabilité que les utilisateurs voient fréquemment le même contenu publicitaire a augmenté. 

Le fait de diffuser la même impression publicitaire à vos utilisateurs peut avoir un effet négatif sur l’impact de vos impressions. La fatigue des impressions publicitaires est réelle – qui d’entre nous n’a pas évité le contenu d’un annonceur coupable de nous proposer un contenu publicitaire déjà vu ?

Étant donné qu’une supply-side platform collabore avec un DSP pour déterminer le plafond de votre ad frequency, vous pouvez limiter le nombre d’impressions publicitaires similaires ou identiques servies à un utilisateur sur votre site. 

Les SSP aident les éditeurs à éviter la lassitude des impressions publicitaires, en garantissant l’impact de leurs impressions et leur potentiel de génération de revenus.

Donner aux éditeurs plus de contrôle sur les prix

Les SSP permettent aux éditeurs de fixer des prix planchers pour leurs impressions, ce qui les a libérés de l’obligation de remplir l’espace publicitaire à n’importe quel prix (généralement bas). 

En d’autres termes, les SSP permettent aux éditeurs de fixer leurs normes de prix. Cela garantit que les espaces publicitaires sont remplis et que les éditeurs sont payés équitablement pour ces impressions.

L’écosystème de la publicité programmatique

La publicité programmatique est l’automatisation de l’achat et de la vente d’espaces publicitaires digitaux. L’écosystème de la publicité programmatique relie les éditeurs à l’ad exchange et aux annonces de valeur avec lesquelles ils cherchent à remplir leur espace, et rassemble les enchères en temps réel (real-time bidding RTB), les SSP et les DSP.

Enchères en temps réel (RTB)

Le RTB se produit lorsque les annonceurs, par l’intermédiaire d’un DSP, enchérissent automatiquement pour des impressions publicitaires proposées par un éditeur via un SSP. 

Les enchères se déroulent en une fraction de seconde, entre le moment où un prospect arrive sur une page et celui où cette page est entièrement chargée. Pendant ces millisecondes, le SSP gère les enchères, puis l’annonce du gagnant est diffusée à l’utilisateur sur le site de l’éditeur – en fonction des budgets et des critères démographiques des audiences.

Programmatique direct

Il s’agit du modèle de publicité programmatique sans enchères. Contrairement au RTB, le programmatique direct consiste pour les éditeurs à vendre leur espace publicitaire directement aux annonceurs à un prix négocié et pour une durée déterminée.

L’avantage du programmatique direct est que les éditeurs ont la garantie que des publicités de qualité seront diffusées sur leurs pages web. Dans le modèle programmatique direct, l’éditeur et l’annonceur négocient un CPM (coût par mille) équitable pour les deux parties.

Un excellent exemple de cas où le programmatique direct est préférable à l’enchère en temps réel serait celui d’un blog de mamans populaire qui vendrait de l’espace publicitaire à une entreprise de poussettes haut de gamme. 

L’éditeur dispose d’un espace publicitaire en rapport avec le public ciblé par l’annonceur, et l’annonceur se voit garantir un certain nombre d’impressions – une situation gagnante pour les deux parties.

Comment choisir le bon SSP ?

Il est important de comprendre le fonctionnement des SSP, mais il est essentiel de savoir quelle supply-side platformvous convient le mieux.

Voici quatre questions à se poser lors de la recherche du bon SSP :

Ai-je besoin d’un SSP tiers ou d’un SSP personnalisé ?

Avant de poser toute autre question, vous devez d’abord décider du type de SSP dont vous avez besoin, un SSP tiers ou un SSP personnalisé.

SSP tiers

Ils sont en pratique exactement ce qu’ils semblent être. Les SSP tiers sont des logiciels prêts à l’emploi et des plateformes de technologie publicitaire qu’il suffit de brancher sur l’infrastructure existante, et le tour est joué pour la publicité programmatique !

Le choix d’un fournisseur de services Internet tiers dépendra de vos besoins, de votre stratégie, de votre budget et de vos publics cibles. 

Les SSP disponibles sur le marché aujourd’hui présentent chacun des caractéristiques, des frais et des évaluations de clients qui leur sont propres, de sorte qu’il est plus facile de prendre une décision en toute connaissance de cause. L’avantage est qu’une fois que vous connaissez vos besoins, le choix de la bonne plateforme et son utilisation sont faciles, tout est prêt.

Les inconvénients de l’utilisation d’un SSP tiers concernent vos données et le fait que votre propriété intellectuelle ne vous appartiendra pas. En outre, vous devrez payer des frais et des commissions pour votre logiciel tiers et, bien que vous puissiez explorer des options, vous ne pouvez pas personnaliser entièrement un SSP existant, ce qui limitera votre valeur sur le marché.

SSP sur mesure

Il s’agit de plateformes créées de toutes pièces et conçues de manière unique pour répondre à vos besoins en matière d’inventaire publicitaire. 

Les avantages de la création d’une plateforme personnalisée du côté de l’offre sont nombreux : 

Tout d’abord, vous possédez et conservez le contrôle total de la plateforme, de votre propriété intellectuelle et de vos données. Un SSP personnalisé vous permettra également de créer votre feuille de route de produits spécifiques et d’élaborer des caractéristiques uniques pour optimiser votre inventaire, éliminant ainsi toute limite à votre valeur marchande.

Bien qu’un SSP personnalisé signifie que vous économiserez de l’argent à long terme parce que vous n’aurez pas de frais ou de commissions de tiers, il faut savoir qu’en moyenne, les coûts initiaux d’une plateforme personnalisée dépassent de loin le prix d’un logiciel de tiers.

Et les utilisateurs de l’éditeur ?

Un SSP qui offre de nombreuses options est préférable à un autre qui n’en offre pas.

Si les utilisateurs au final ne sont pas satisfaits, les éditeurs ont des problèmes bien plus importants que la question des prix et les tarifs. 
De nombreux éditeurs aiment expérimenter différents formats pour comprendre ce qui convient le mieux à leurs utilisateurs. Le choix d’un SSP offrant plus d’options permet aux éditeurs de tester et d’explorer comment et quand présenter leurs impressions de valeur à un utilisateur – afin d’augmenter la probabilité d’un clic et d’une conversion.

Plusieurs sources de demande ?

L’objectif d’un éditeur est de vendre un maximum de son inventaire publicitaire au meilleur prix possible. Mais pour ce faire, les éditeurs ont besoin d’acheteurs qui sont prêts à se faire concurrence pour l’espace.

En tant qu’éditeur, vous devez vous connecter au plus grand nombre possible de plateformes à la demande, d’ad exchanges et de réseaux publicitaires de qualité. 

Les annonceurs ou les acheteurs d’espaces publicitaires sont votre source de demande. La recherche d’un SSP ayant accès à diverses sources de demande vous permet (en tant qu’éditeur) de connaître les acheteurs potentiellement prêts à entrer en concurrence pour votre précieux espace publicitaire.

Des services d’analyse et de reporting ?

L’une des raisons pour lesquelles vous utilisez un SSP est d’améliorer l’optimisation du rendement de votre inventaire d’espace publicitaire sur les applications mobiles et les sites web. 

Un SSP doté d’une interface d’analyse et de reporting aide les éditeurs à comprendre et à suivre les performances de leur inventaire, les taux de remplissage et le nombre de clics et d’impressions. 

En comprenant le fonctionnement de leur inventaire, les éditeurs peuvent alors monétiser leurs impressions publicitaires automatiquement et à grande échelle.

Les 8 meilleurs SSP sur le marché actuellement

La publicité programmatique connaît une croissance remarquable et est considérée comme l’avenir de la publicité numérique et en ligne. Il est donc essentiel pour les éditeurs de comprendre les différentes plateformes programmatiques à leur disposition.

Voici donc huit des meilleurs SSP actuellement disponibles sur le marché :

  1. Google Ad Manager
  2. OpenX
  3. Magnite
  4. Sovrn
  5. PubMatic
  6. InMobi
  7. SmartyAds
  8. Index Exchange

Points clés à retenir

Les fournisseurs de services Internet et l’écosystème de la publicité programmatique sont truffés de jargon technique, qui évolue aussi vite que le secteur lui-même. Mais ne vous sentez pas désorienté. Rappelez-vous ce qui suit :

  1. Les SSP représentent la vague de publicité digitale de l’avenir. Ils automatisent et optimisent la vente de l’espace média d’un éditeur, l’aidant à le remplir de publicités et à générer des revenus.
  2. Les SSP facilitent la relation entre l’éditeur et l’annonceur, en veillant à ce que les publicités soient diffusées au bon utilisateur sur les sites appropriés.
  3. Les SSP augmentent les taux de remplissage des publicités, limitent la lassitude des impressions publicitaires et donnent aux éditeurs un plus grand contrôle sur les prix.
  4. Si vous savez de quel type (personnalisé ou tiers) il s’agit et ce qu’il faut demander, vous savez quel est le SSP qui vous convient le mieux !

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Lifetime value (LTV) https://www.appsflyer.com/fr/glossary/ltv/ Wed, 07 Jun 2023 09:54:26 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/lifetime-value-ltv/ Qu’est-ce que la LTV? La Lifetime value, ou LTV en abrégé, est une mesure essentielle de la croissance des entreprises mobiles, souvent utilisée pour déterminer la valeur d’un utilisateur au cours de la période d’utilisation d’une application.  La LTV aide les spécialistes à optimiser correctement les sources de revenus telles que les achats in-app, la […]

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La Lifetime value, ou LTV, est une estimation du revenu moyen qu’un client générera au cours de la période où il utilisera un produit ou un service donné.

Qu’est-ce que la LTV?

La Lifetime value, ou LTV en abrégé, est une mesure essentielle de la croissance des entreprises mobiles, souvent utilisée pour déterminer la valeur d’un utilisateur au cours de la période d’utilisation d’une application. 

La LTV aide les spécialistes à optimiser correctement les sources de revenus telles que les achats in-app, la publicité in-app, et les abonnements, en identifiant exactement combien d’argent ils peuvent se permettre de dépenser pour l’acquisition d’utilisateurs tout en restant rentables, . ,

LTV vs CLV

Vous avez peut-être également entendu le terme CLV, ou Lifetime value du client, et vous vous demandez en quoi il diffère de la LTV. En vérité, les deux mesures sont très similaires et, dans certaines entreprises, les termes sont utilisés de manière interchangeable. 

Cependant, il est généralement admis que la CLV mesure la valeur qu’un client individuel apportera au cours du temps passé avec vous, tandis que LTV examine la valeur moyenne sur l’ensemble de votre clientèle. 

Qu’en est-il de l’ARPU?

L’ARPU (revenu moyen par utilisateur) est une autre mesure que vous entendrez souvent mentionner dans le contexte de la valeur client. 

Là où il diffère de la LTV, c’est dans la chronologie. Alors que la LTV examine la valeur qu’un client apporte sur l’ensemble de son interaction avec votre marque (qu’il s’agisse de jours ou d’années), l’ARPU se concentre sur une période définie. Vous pouvez mesurer le chiffre d’affaires sur un mois particulier ou examiner le comportement des clients 30 jours après l’installation, par exemple. 

Voici comment le calculer :

RMPU = chiffre d’affaires total de l’entreprise sur une période donnée / nombre moyen d’utilisateurs au cours de cette période

Comment calculer la LTV

Calcul de la LTV

Il existe de nombreuses formules pour calculer la LTV. Voici quelques étapes simples que vous pouvez suivre pour identifier rapidement son montant :

  1. Déterminez la valeurmoyenne de vos achats. Si vous n’avez pas mesuré vos données d’achat moyen depuis un certain temps, envisagez de considérer une période d’un ou trois mois comme approximation pour l’ensemble de l’année.
  2. Calculez le nombre moyen d’achats au cours d’une périodedéfinie. La fréquence d’utilisation de l’application est un facteur majeur de la LTV.
  3. Mesurez la rétentionde vos utilisateurs. Déterminez combien de temps l’utilisateur moyen reste fidèle à votre marque. Certaines marques parviennent à fidéliser leurs utilisateurs tout au long de leur vie, mais la plupart ont du mal à garder les utilisateurs perdus en raison d’une mauvaise expérience utilisateur (UX) ou d’un paysage devenu brutalement concurrentiel.
  4. Visez loin ! Maintenant que vous avez les inputs, il est temps de multiplier les trois nombres ensemble au sein d’une formule simple :

LTV = Taille moyenne des achats x Nombre d’achats x Période de rétention

Ou essayez cela :

LTV = Total des revenus générés depuis la date d’installation ou au cours d’une période définie / Nombre total d’utilisateurs qui ont installé à cette date ou pendant la période définie

Pourquoi la LTV est-elle importante?

Les bénéfices de la LTV

Combiné avec le revenu moyen par utilisateur, la LTV est une mesure d’or pour déterminer le revenu potentiel total ou la valeur de vos utilisateurs. Dans l’économie des applications gratuites, c’est un moyen essentiel de mesurer la santé de l’entreprise.

Voici d’autres raisons pour lesquelles il est si important de mesurer la LTV :

  1. Vous ne pouvez pas améliorer ce que vous ne mesurez pas. Une fois que vous aurez commencé à mesurer la LTV et à en décomposer les différents éléments, vous serez en mesure d’utiliser des stratégies plus ciblées autour de la tarification, de la publicité et de la rétention des utilisateurs. Cela vous aidera à atteindre vos objectifs d’amélioration continue de votre UX et d’augmentation des profits.
  2. Prenez de meilleures décisions en matière d’acquisition d’utilisateurs. Lorsque vous savez à quoi vous attendre en termes de revenus moyens par utilisateur, vous pouvez augmenter ou diminuer les dépenses pour vous assurer de maximiser la rentabilité et de continuer à attirer le bon public.
  3. Améliorez les prévisions. Les prédictions LTV peuvent vous aider à prendre des décisions prospectives concernant les dépenses publicitaires. Les prévisions LTV minimisent le risque de sous-dépenser et de manquer des opportunités potentielles, ou de dépenser trop et de gaspiller votre argent aux mauvais endroits.
  4. Augmentez la fidélité et la fidélisation des clients. Lorsqu’une entreprise fournit constamment de la valeur – sous la forme d’une excellente application, d’un support client exceptionnel ou d’un excellent programme de fidélisation – la fidélité et la rétention ont tendance à monter en flèche. Concentrer vos efforts sur les utilisateurs ayant une LTV plus élevée vous permettra de stimuler la rétention. Plus d’utilisateurs fidèles signifie un taux de désabonnement plus faible, ainsi que plus de feedbacks et de critiques positives.
  5. Générez des achats récurrents. La LTV permet de mesurer les visites Web ou l’utilisation des applications par an ou au cours de la durée d’activité de vos utilisateurs. Vous pouvez ensuite utiliser ces données pour mettre en œuvre des stratégies qui augmentent la fidélisation.
  6. Augmentez la rentabilité. Dans l’ensemble, une LTV plus élevée conduit à des profits plus importants. En gardant les utilisateurs plus longtemps et en construisant un modèle qui les encourage à dépenser plus, vous devriez voir les avantages apparaître sur votre résultat net.

La LTV pour les entreprises SaaS

La LTV est particulièrement pertinente pour les entreprises SaaS (software as a service), où le succès dépend de la construction de relations durables avec les clients. 

Dans un marché concurrentiel, vous devrez dépenser de l’argent pour convaincre les clients de choisir votre produit. Pour que votre entreprise soit rentable, vous avez besoin que ces clients restent avec vous et augmentent leurs dépenses, par exemple en passant à des fonctionnalités premium. 

Il est essentiel de comprendre non seulement combien de valeur les clients vous apportent au fil du temps, mais aussi les montants que vous avez dépensé pour les acquérir. De cette façon, vous pouvez identifier les stratégies d’acquisition les plus efficaces et les relations les plus lucratives sur lesquelles vous concentrer. Ci-dessous, nous vous aidons à trouver l’équilibre parfait.

LTV et CAC : le nombre magique

Votre ratio LTV:CAC vous permet de comparer la Lifetime value de vos clients avec votre coût d’acquisition client (CAC).  

Pour calculer votre CAC, divisez vos dépenses marketing totales par le nombre de clients que vous avez acquis. 

Votre ratio LTV:CAC est calculé en LTV / CAC. Cela peut être exprimé sous la forme d’un ratio, par exemple 4:1. 

Si votre résultat est inférieur à un, vous avez un problème: vos clients vous perdent effectivement de l’argent. D’une manière générale, un bon ratio LTV:CAC est d’au moins 3:1 (en d’autres termes, votre LTV est au moins 3x votre CAC). Trop bas, et vous pourriez avoir du mal à récupérer vos coûts d’acquisition sur la durée de vie du client. Un nombre très élevé, d’autre part, suggère que vous êtes excellent pour fidéliser les clients – mais pourrait manquer des occasions d’attirer davantage de profils pertinents. 

Rapports LTV vs rapports d’activité

Les rapports de données sont au cœur du marketing mobile. Sans eux, il est impossible de prendre des décisions fondées sur les données qui sont essentielles au succès de votre entreprise. 

Cela dit, et tout comme d’autres éléments du paysage mobile, les données sont multi-visages. En ce qui concerne la LTV, les rapports de données se présentent sous deux formes principales.

Données sur la Lifetime value par rapport aux données d’activité

Il existe deux méthodes principales pour analyser les données d’activités liées à vos utilisateurs : Les données d’activité se rapportent à toutes les actions effectuées par les utilisateurs après l’installation, telles que les achats in-app, les inscriptions, les passages de niveaux, etc. Les données d’installation, en revanche, ne sont considérées comme ni des données d’activité ni des données LTV.

  • Données de Lifetime : ces données incluent les événements effectués tout au long de la « lifetime » des utilisateurs en post-installation au cours d’une plage de dates spécifique. Une bonne optimisation des campagnes dépend des données LTV, car elles permettent de suivre la qualité des utilisateurs provenant de différentes sources médias. 
  • Les données d’activité incluent tous les événements effectuéstués par l’ensemble les utilisateurs actifs de l’application au cours d’une plage de dates spécifique, et dévoilent une ventilation précise des événements chronologiques. 

C’est une mesure commerciale solide qui permet de prendre le pouls des tendances – par exemple, le nombre de ventes d’applications qui ont eu lieu le Black Friday 2022 vs . Black Friday 2021. Mais les marketeurs examinent généralement les données LTV car ils peuvent isoler des cohortes spécifiques. 

L’analogie du train peut aider à expliquer la différence.

LTV vs données d’activité

Sam est debout à côté d’une voie ferrée et regarde passer un train. Pendant un seul moment, Sam ne voit que les actions en cours effectuées par TOUS les passagers. Il s’agit des données d’activité.

LTV vs données d’activité 2

Maintenant, prenez David, qui se tient à l’intérieur de l’un des wagons. David voit TOUTES les actions effectuées uniquement par les passagers qui sont montés dans le train avec lui, de leur arrivée (c’est-à-dire au moment de l’installation) jusqu’au départ (c’est-à-dire la désinstallation). Il ne peut voir aucune action effectuée par les passagers sur d’autres wagons, puisqu’ils sont montés à bord avant ou après lui. Qu’est-ce que les données LTV ?

La LTV à l’ère de la confidentialité

Bien que la confidentialité est une bénédiction pour les consommateurs et l’écosystème mobile, les changements apportés par iOS14 apportent leur lot de défis. 

Heureusement, SKAdNetwork 4.0 (SKAN 4.0), publié en octobre 2022, offre aux spécialistes marketing quelques améliorations par rapport à la version précédente. Auparavant, vous ne pouviez recevoir qu’un seul postback, qui était basée sur des signaux de données dès le début de l’entonnoir de vente. Il y avait peu ou pas de postback liés aux événements in-app, qui sont des indicateurs utiles pour mesurer la LTV. Ce manque de données s’est avéré un véritable défi pour la mesure des campagnes. 

Désormais, SKAN 4.0 offre aux annonceurs jusqu’à trois postbacks, chacun basé sur une fenêtre de données spécifique. Il existe également une fonctionnalité appelée LockWindow, qui vous permet d’obtenir des publications plus tôt.  

La LTV à l’ère de la confidentialité

La technologie d’Apple garantissant l’anonymat du plus grand nombre signifie que les données issues des postbacks sont limitées: elles montrent la valeur de conversion de la campagne elle-même, mais ne peuvent pas être liées à des utilisateurs spécifiques. Mais vous pouvez surmonter ces limites en utilisant des outils de modélisation prédictive. Ci-dessous, nous examinons comment ceux-ci peuvent vous aider à optimiser vos campagnes efficacement et en toute sécurité. 

Prédire l’avenir avec la pLTV

Il est toujours utile de voir combien de valeur vos clients ont apporté dans le passé – mais ne serait-il pas plus puissant encore de savoir comment ils se comporteront à l’avenir? Avec la Lifetime value prédite (pLTV), vous pouvez faire exactement cela, sans avoir besoin d’une boule de cristal. 

La pLTV est une forme de modélisation qui utilise le machine learning et l’intelligence artificielle (IA) pour prédire les actions futures en fonction des données passées. Il permet de segmenter vos clients en fonction de la façon dont ils ont interagi avec votre entreprise, afin que vous puissiez voir rapidement quelles campagnes, canaux et stratégies sont les plus rentables, et où concentrer vos efforts à l’avenir. 

Un avantage très net de cette approche est qu’elle permet de rester du bon côté des directives de confidentialité renforcées : vous avez seulement besoin de savoir ce que font les clients, pas qui ils sont.

Comment pouvez-vous améliorer la LTV?

Comment augmenter la Lifetime value

Il existe de nombreuses stratégies différentes qui peuvent vous aider à augmenter votre LTV. Nous en avons rassemblé 13 ci-dessous…:

1. CX – l’expérience client est primordiale

Votre application, votre site Web, votre service client et d’autres points de contact font tous partie d’une unique votre expérience client. Si vos clients bénéficient à chaque fois d’une expérience digitale fluide et peu stressante, ils sont beaucoup plus susceptibles de revenir, de faire connaître votre marque, d’améliorer votre classement dans l’App Store et de stimuler votre croissance organique.

2. Améliorez votre onboarding

Certains consommateurs achètent un produit ou un service, mais n’ont aucune idée de ce qu’ils doivent faire ensuite. Les marques qui réussissent tracent le parcours de leurs clients, qui commence par investir dans un onboardingfluide et interactif

Cela permet de s’assurer que les utilisateurs reviennent fréquemment et utilisent votre application efficacement, ce qui améliore la probabilité de futures mises à niveau ou de dépenses plus élevées dans l’application.

3. Connectez LTV à vos données d’attribution mobile 

Cette approche commune vous permettra d’identifier les meilleurs canaux, sources médiatiques, campagnes et créations sur lesquels vous concentrer.

4. Offrez un meilleur rapport qualité-prix

En vous concentrant sur la valeur et en offrant aux clients quelque chose qu’ils ne peuvent pas obtenir ailleurs, vous êtes beaucoup plus susceptible d’augmenter votre LTV – et même vos prix – tout en minimisant le taux de désabonnement. Assurez-vous simplement de tenir compte des prix de vos concurrents avant de déterminer le vôtre. 

5. Investissez dans des programmes de fidélisation de la clientèle ou de récompenses

Récompenser les achats fréquents ou l’abonnement durable de vos clients leur permettra de se sentir valorisés et engagés. Cherchez des moyens créatifs d’encourager vos clients à revenir, d’augmenter leur fréquence d’achat et de partager leurs activités à leurs contacts.

6. Offrir un service client exceptionnel

Un mauvais service client est un moyen rapide de voir votre LTV chuter et vos taux de désabonnement monter en flèche. S’efforcer de rendre chaque interaction agréable améliorer la fidélité de votre clientèle et vous aidera à augmenter votre LTV. 

N’oubliez pas non plus de partager les feedbacks de vos clients. En plus de compter sur le service client pour résoudre le problème, les marques doivent continuellement recueillir des commentaires pour pouvoir les relier à leurs produits et services et améliorer leur expérience client. 

7. Concevez une meilleure expérience

Existe-t-il quelque chose de plus frustrant qu’un site Web ou une application dans laquelle on ne trouve pas immédiatement le bouton dont on a besoin?  

Si votre site Web ou votre app est encombré, difficile à naviguer ou lent à charger, il est peu probable que les utilisateurs restent. Pensez aussi à conserver un design spécifique et conforme à la marque, pour une expérience utilisateur cohérente. Testez-le sur différents appareils et suivez les best practices en matière d’accessibilité – par exemple, évitez les longs défilements et assurez-vous que les liens et les appels à l’action se démarquent clairement. 

8. Assurez-vous que votre expérience d’achat est fluide

L’abandon de panier est un problème réel et douloureux pour la plupart des entreprises. Construire une expérience d’achat courte et simple vous aidera à attirer toutes les ventes possibles. Lorsque les achats sont abandonnés, envisagez un mail de suivi pour aiguiller votre client potentiel vers l’achat. 

9. Encouragez les upsells et les ventes croisées

Il est souvent plus facile (et moins cher) de réengager ou de vendre un client existant que d’en attirer un nouveau. Trouvez des moyens créatifs de mettre en valeur la valeur ajoutée de produits haut de gamme ou supplémentaires, en encourageant vos clients à dépenser plus.

10. Soyez présent sur les réseaux sociaux

L’un des meilleurs endroits pour attirer l’attention de vos clients est de les atteindre dans des endroits où ils passent déjà la plupart de leur temps. Qu’il s’agisse de TikTok, Instagram, LinkedIn, Snapchat, Twitter ou Facebook, les canaux de réseaux sociaux ont un impact à la fois sur la publicité et sur l’interaction avec vos clients.

11. Offrez un contenu pertinent et attrayant sur vos médias propriétaires

Vos médias propriétaires, qui comprennent site Web, articles de blog, eBooks, vidéos, podcasts et votre contenu de réseaux sociaux, peuvent aider à vous connecter avec des segments particuliers de votre audience, à leur présenter de nouveaux produits ou à encourager une utilisation optimisée.

12. Boostez la rétention avec les push

Utilisées correctement, les push peuvent être un excellent moyen de rappeler aux utilisateurs les avantages de votre application et de les encourager à y accéder plus souvent. Ces messages courts et cliquables sont envoyés par l’application directement à l’appareil de l’utilisateur.

Mais n’exagérez pas, vos efforts de rétention repousseraient alors les utilisateurs. Les push ne fonctionneront que si il sont pertinents, utiles et envoyés au bon moment : par exemple, alerter les utilisateurs d’une offre limitée ou leur rappeler de faire une activité quotidienne. Surtout, les utilisateurs doivent également avoir choisi de les recevoir. 

13. Tester, tester, tester

Améliorer votre LTV consiste à comprendre ce que veulent vos clients. Vous pouvez utiliser les tests A/B à chaque étape de votre parcours utilisateur pour découvrir ce qui génère le plus de conversions. En comparant la façon dont les utilisateurs réagissent à différents titres, CTA, mises en page, images, etc., vous serez en mesure d’optimiser les campagnes futures pour un revenu maximal.

Points clés à retenir

  • La LTV est une mesure essentielle à la croissance de votre activité d’applications mobiles. Il aide à optimiser correctement les campagnes en identifiant exactement combien d’argent vous pouvez vous permettre de dépenser pour l’acquisition utilisateurs tout en restant rentable.
  • Les mesures connexes incluent CLV (valeur vie client), pLTV (Lifetime value prévue) et ARPU (revenu moyen par utilisateur).
  • La mesure de la LTV peut vous aider à être plus stratégique en matière de tarification, de publicité et de fidélisation des utilisateurs. Elle vous permet de prendre de meilleures décisions d’UA, d’améliorer les prévisions, de fidéliser vos clients, de générer des achats récurrents et d’augmenter la rentabilité.
  • Pour assurer un équilibre rentable entre les coûts d’acquisition et la Lifetime value, visez un ratio LTV:CAC d’au moins 3:1. 
  • En exploitant les algorithmes de machine learning, les marketeurs en digital sont en mesure de surmonter certaines des limitations de confidentialité posées par SKAdNetwork d’Apple, de mieux comprendre les tendances du comportement des utilisateurs et de les utiliser pour prédire la valeur des utilisateurs au fil du temps. 
  • Améliorer la LTV passe par la prise en compte des feedbacks des clients, et la fourniture d’un service client exceptionnel. Vous devez également partager du contenu pertinent via vos canaux de média propriétaires, utiliser des push et continuer à tester pour optimiser votre conception. 

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Owned media https://www.appsflyer.com/fr/glossary/owned-media/ Wed, 07 Jun 2023 09:53:55 +0000 https://www.appsflyer.com/glossary/les-medias-detenus-ou-proprietaire-owned-media/ Qu’est-ce qu’un Owned media ? Les owned media (appelés aussi médias détenus ou médias propriétaires) sont le lieu de « résidence » de votre contenu. Vous en avez le contrôle total, de la création à la distribution, et c’est un moyen efficace d’entrer en contact avec les clients et les prospects. Des articles de blog […]

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Les owned media font référence à toute propriété en ligne sous le contrôle direct de l’entreprise, comme un site web, un profil de réseau social, une application, une lettre d’information, etc.

Qu’est-ce qu’un Owned media ?

Les owned media (appelés aussi médias détenus ou médias propriétaires) sont le lieu de « résidence » de votre contenu. Vous en avez le contrôle total, de la création à la distribution, et c’est un moyen efficace d’entrer en contact avec les clients et les prospects.

Des articles de blog aux campagnes marketing par mails, des webinaires aux tweets, le owned media est votre moyen de créer du contenu gratuit et contextualisé pour accroître l’engagement à chaque étape du parcours utilisateur.

Poursuivons l’exploration. 

Exemples de owned media

Site web/application

Votre site web ou votre application constituent votre principal canal de distribution lorsqu’il s’agit des owned media. Ils sont non seulement le porte-parole de votre marque, mais aussi le premier endroit où le contenu que vous créez sera publié, et ils préparent le terrain pour la façon dont vous voulez que les utilisateurs s’engagent avec votre marque. 

Le contenu de ce canal comprend des articles de blog, des communiqués de presse, des pages de produits (ou une sélection de produits recommandés dans une application), des webinaires, des livres électroniques, des démonstrations, etc. 

Propriétés sur réseaux sociaux

Avoir une page ou un profil sur les principaux réseaux sociaux est aussi important que d’avoir un site web. Ils offrent la possibilité d’étendre la portée de votre marque et permettent aux clients existants et futurs de s’engager plus facilement avec vous.  

Bien que le contenu se doit de toujours être authentique et cohérent avec la marque, les réseaux sociaux permettent d’être un peu moins formel et un peu plus décalés.

À la fois outil de création de contenu original, de gestion et de diffusion, les réseaux sociaux sont un canal polyvalent pour explorer ce qui fonctionne lorsqu’il s’agit de créer des conversations significatives qui incitent à l’action. 

Vous remarquerez toutefois qu’un profil sur un site tiers ne correspond pas forcement à notre définition du “contrôle direct”… des détails sont à découvrir un peu plus bas..

Liste de mails

Le mail marketing est un canal essentiel pour promouvoir vos produits, entretenir vos prospects, informer vos clients de tout changement et, bien sûr, leur proposer des offres et des réductions exclusives. 

Le mail est un canal intéressant, car c’est l’un des moyens les plus personnalisés et contextualisés de communiquer avec prospects et clients. 

Pensez-y : vous pouvez segmenter les utilisateurs en fonction de toutes sortes d’attributs et créer différents flux, des messages et des CTA différents pour les utilisateurs en fonction de leur stade dans le parcours utilisateur ou même des actions qu’ils ont (ou n’ont pas encore) effectuées sur votre site ou dans votre application. 

Pour souligner l’importance du mail dans votre arsenal de “owned media”, une étude d’eMarketer révèle que le retour sur investissement médian du marketing par mail est de 122 %, soit quatre fois plus que pour tout autre canal de marketing numérique.

Profils tiers 

À l’instar des réseaux sociaux, les profils tiers comprennent les profils des stores d’applications, les listes de sites d’évaluation, et les forums. Tous les profils de tiers sont des endroits où vous pouvez créer et distribuer du contenu et entrent dans la catégorie des owned media. 

En tant qu’entreprise, vous possédez et contrôlez toujours le contenu de chacune des inscriptions, mais elles ne peuvent pas reproduire le style exact de votre marque. Cela dit, ils permettent de créer des communautés autour de votre marque, d’engager activement le dialogue avec les utilisateurs potentiels, d’encourager la loyauté et de rechercher des défenseurs potentiels. 

La différence entre les médias payés, propriétaires et gagnés

Médias payés

Own media et médias gagnés

On parle de médias gagnés chaque fois que votre contenu est promu ou référencé sans que vous ayez payé pour cela. C’est l’équivalent du bouche à oreille en ligne. 

Ils diffèrent des médias propriétaires par l’entreprise dans la mesure où vous ne pouvez pas contrôler le contenu ou l’emplacement. 

Parmi les exemples de médias gagnés, on peut citer un tweet relatant une expérience avec votre produit ou votre équipe, une évaluation de votre application sur un site tiers ou une publication d’information qui a décidé de vous présenter dans un article sur lequel elle travaillait, entre autres choses.  

En ce qui concerne notre remarque ci-dessus, certains disent que les réseaux sociaux devraient être classés comme des médias gagnés, car même si le contenu est le vôtre, vous ne contrôlez pas complètement la fonctionnalité. D’autres ont créé une toute nouvelle catégorie pour ce type de médias, appelée « médias partagés », mais nous nous en tiendrons pour l’instant aux trois catégories de médias.

C’est un peu comme la différence entre la propriété et la location d’un appartement. Avec l’appartement que vous possédez, vous pouvez prendre les décisions concernant la décoration et la structure. Dans le cas d’un appartement loué, vous pouvez prendre ces décisions dans une certaine mesure, mais c’est le propriétaire qui décide de l’emplacement des murs et des conditions du bail. 

own media vs médias payants

Les médias payants, comme leur nom l’indique, font référence au contenu que vous avez payé. Il existe de nombreux types de médias payants, mais les plus courants sont les suivants :

Médias gagnés

Les partenariats, le marketing d’influence, les publireportages et les canaux non-numériques tels que les panneaux d’affichage, les publicités télévisées et les parrainages d’événements sont d’autres exemples de médias payants. 

Bien que vous gardiez le contrôle sur les médias propriétaires et payés, les premiers sont gratuits, ce qui constitue la principale, ou la seule, différence entre les deux.

Quels sont les avantages de l’utilisation des médias propriétaires ?

Contrôle total 

Comme nous l’avons déjà mentionné, le média propriétaire permet de contrôler totalement tous les aspects de votre contenu. De la tonalité de la marque à l’aspect, la convivialité, le sujet et la possibilité de l’actualiser ou de l’adapter quand et comme vous le souhaitez.

Gratuité

Hormis les ressources internes que vous consacrez à la création de votre contenu, les owned media sont gratuits. Vous n’avez pas à payer pour distribuer votre contenu, ni pour l’héberger. 

Risque faible 

La combinaison du fait qu’en tant que marque, vous avez un contrôle total sur votre contenu et que ce type de média est gratuit, signifie qu’il présente un faible risque pour votre entreprise. Avec les médias payants, vous risquez de gaspiller votre budget si une campagne n’aboutit pas. Avec les médias gagnés, vous n’avez pas de contrôle sur les commentaires et les réponses. Les médias médias propriétaires évitent ces deux écueils potentiels. 

Ils permet d’appréhender l’ensemble les étapes du parcours de l’acheteur 

Avec le média propriétaire, vous pouvez élaborer une stratégie de contenu qui se réfère à chaque étape du parcours de l’acheteur. 

Par exemple, votre blog peut se focaliser sur la phase de sensibilisation, votre newsletter peut contribuer à la phase de réflexion, et un webinaire avec une démonstration peut faire progresser la phase de décision jusqu’à l’acte final. 

Les Best practices pour votre stratégie de own media

Voir les résultats de vos efforts en matière de médias propriétaire peut être un défi en soi, c’est pourquoi il est important de suivre certaines bonnes pratiques. 

Owned media : plan pour une stratégie

Planifiez la création de votre contenu 

Avant de commencer à créer votre contenu, réfléchissez aux objectifs que vous souhaitez atteindre. Une fois que vous avez défini vos critères de référence et vos indicateurs, vous pouvez travailler à rebours et décider des formats de contenu et des canaux de distribution qui vous aideront le mieux à atteindre vos objectifs.  

Faites des recherches sur votre audience

Réfléchissez à la personne pour laquelle vous créez le contenu et à l’endroit où elle se trouve dans le parcours de l’acheteur. Essayez de créer un contenu qui résout un problème particulier. Vous pouvez également vous demander à quel endroit ces derniers peuvent trouver votre contenu et si vous devez le publier dans différents formats. 

Choisissez vos canaux de distribution

Comme nous l’avons vu précédemment, il existe un certain nombre de canaux de distribution, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients. Prenez le temps d’évaluer les canaux les mieux adaptés à un contenu ou à un message particulier. 

Par exemple, il se peut que vous ayez une annonce passionnante à faire sur votre newsletter, mais aussi sur votre page LinkedIn. Vous avez peut-être publié un nouveau rapport qui sera hébergé sur votre site web, mais vous décidez également de poster un lien dans un forum pertinent afin d’encourager les gens à se rendre sur votre site pour télécharger le rapport. 

Le choix des canaux de publication est un élément important de votre stratégie de contenu. 

Décidez si vous souhaitez améliorer votre campagne avec des canaux payants ou des collaborations, ou si vos propres canaux médias sont suffisants. 

Expérience 

Il y a une infinité de contenu : pour se démarquer dans la foule, il faut s’assurer d’être remarqué. 

Expérimentez différents canaux, visuels et formats et découvrez quelles approches vous apportent une plus grande valeur ajoutée pour les utilisateurs et une meilleure notoriété de la marque. 

Analysez

À l’aide des critères de référence que vous avez définis lors de la phase de planification, mesurez les performances de vos médias propriétaires par rapport à vos objectifs. 

Si vous dépassez les attentes, redoublez d’efforts, ou si vous remarquez des points à améliorer, vous pouvez peaufiner et optimiser votre stratégie de contenu.

Il est important d’analyser en permanence vos résultats afin d’obtenir les meilleures performances possibles de vos médias propriétaires.

Points clés à retenir

  1. Les owned media sont le lieu où se trouve votre contenu – c’est là qu’en tant que marque vous profitez d’un contrôle total. Assurez-vous donc de les utiliser comme porte-parole de votre entreprise.
  2. Les médias gagnés diffèrent des médias propriétaires dans la mesure où vous ne pouvez pas contrôler le contenu ou son placement. Ces deux types de médias diffèrent des médias payants, car les médias gagnés et propriétaires sont gratuits.   
  3. Les owned media peuvent être utilisés pour appréhender chaque phase du parcours de l’acheteur. Associés au canal de distribution adéquat, ces médias ont la capacité de créer un dialogue avec les clients au fur et à mesure qu’ils avancent dans l’entonnoir de vente.

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